Notices

Etagère(s) sélectionnée(s) :Climat, Consommation et production
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  • Revue/Périodique
    [No author mentioned] | Juin 1995.
    TRUC PRATIQUE : - Arts d'écoles, créations artistico-pédagogiques pour une alimentation saine MATIÈRE À RÉFLEXION : - Agriculture savoureuse : les produits du terroir à travers toute la Wallonie et Bruxelles INSTITUTIONS ET ACTEURS : - Alimentation et nature, vie rurale, agriculture, environnement, développement, relations Nord-Sud, consommation, nutrition, santé... EXPÉRIENCES : - La forêt tropicale, du petit déjeuner au coucher - Un jardin potager à la ferme d'animation - Une collation avec plus de fruits, moins de sucre, moins de déchets ! ACTIVITÉ : - Au supermarché...carottes bio ou chips ?
  • Document imprimé
    Valérie Masson-Delmotte | 2020.
    Nos Futurs est une anthologie de textes destinés à sensibiliser, à informer et à produire des récits autour des enjeux du changement climatique. Cette anthologie est composée de 10 textes de science, 10 textes de fiction : 20 regards issus de la rencontre entre scientifiques et créateurs d'imaginaire. Ce livre part d’un double constat. D’une part, la transition écologique au sens large, et les changements radicaux qui l‘accompagnent, intéressent et préoccupent un public de plus en plus large, qui cherche des moyens de se saisir du sujet. D’autre part, alors que l’homme est un animal d’histoires, nous manquons de récits pour nous approprier ces futurs, souhaités ou subis.
  • Document imprimé
    Luc SEMAL | 2019.
    Depuis les premières alertes des années 1970 jusqu’aux débats contemporains sur l’Anthropocène, Luc Semal retrace l’émergence et l’évolution des mobilisations aux prises avec les limites à la croissance et la perspective d’un effondrement global. Leur catastrophisme est envisagé non pas comme une fascination paralysante pour le désastre, mais comme une pensée politique propice à la délibération et à l’action. Des mouvements comme ceux de la décroissance et des Transition Towns réinventent des projets écologistes entre sobriété heureuse et désastres annoncés. Par leurs luttes et leurs expérimentations locales, ces mobilisations à l’ombre des catastrophes esquissent les contours d’une démocratie post-pétrole et post-croissance.
  • Revue/Périodique
    Charlotte SORIN | 2017-2018.
    L’alimentation peut être représentée comme un cycle aussi vaste qu’indispensable. Cycle au cours duquel elle est étroitement liée à l’environnement et aux écosystèmes, aux innombrables personnes qui interviennent, de la production jusqu’au recyclage… en passant par les consommateur·rice·s. De manière transversale, l’alimentation est au coeur de nos sociétés et nous concerne tou·te·s, individuellement et collectivement. Mais quelle alimentation et, par extension, quelle société voulons-nous ? Sommes?nous satisfait·e·s d’une alimentation qui nous mène vers toujours plus de crises sanitaires, sociales, environnementales,économiques… ? L’alimentation est un enjeu de taille… un acte citoyen et un acte politique ! Chacun·e à notre niveau et en fonction de nos possibilités, nous avons le pouvoir d’agir. Et nous sommes de plus en plus nombreux·euses à nous questionner, à avoir envie de comprendre, de s’éduquer… et d’agir !
  • Document imprimé
    Faustine BRUNET | 2016.
    Une petite fille s'interroge sur le phénomène de disparition des poissons et observe le monde à sa hauteur, en essayant de comprendre et de trouver des solutions à sa mesure. Conte poétique et écologique, qui évoque, de manière subtile, une question écologique qui concerne l'appauvrissement des ressources marines et la surpêche. Cet ouvrage tend à sensibiliser les enfants sur une réalité qui touche notre environnement et notre quotidien, tout en les invitant dans un univers onirique et coloré.
  • Document imprimé
    LATOUR Bruno | 2015.
    James Lovelock n’a pas eu de chance avec l’hypothèse Gaïa. En nommant par ce vieux mythe grec le système fragile et complexe par lequel les phénomènes vivants modifient la Terre, on a cru qu’il parlait d’un organisme unique, d’un thermostat géant, voire d’une Providence divine. Rien n’était plus éloigné de sa tentative. Gaïa n’est pas le Globe, n’est pas la Terre-Mère, n’est pas une déesse païenne, mais elle n’est pas non plus la Nature, telle qu’on l’imagine depuis le XVIIe siècle, cette Nature qui sert de pendant à la subjectivité humaine. La Nature constituait l’arrière-plan de nos actions. Or, à cause des effets imprévus de l’histoire humaine, ce que nous regroupions sous le nom de Nature quitte l’arrière-plan et monte sur scène. L’air, les océans, les glaciers, le climat, les sols, tout ce que nous avons rendu instable, interagit avec nous. Nous sommes entrés dans la géohistoire. C’est l’époque de l’Anthropocène. Avec le risque d’une guerre de tous contre tous. L’ancienne Nature disparaît et laisse la place à un être dont il est difficile de prévoir les manifestations. Cet être, loin d’être stable et rassurant, semble constitué d’un ensemble de boucles de rétroactions en perpétuel bouleversement. Gaïa est le nom qui lui convient le mieux. En explorant les mille figures de Gaïa, on peut déplier tout ce que la notion de Nature avait confondu : une éthique, une politique, une étrange conception des sciences et, surtout, une économie et même une théologie.
  • Document imprimé
    Pablo SERVIGNE | 2015.
    "Et si notre civilisation s'effondrait ? Non pas dans plusieurs siècles, mais de notre vivant. Loin des prédictions Maya et autres eschatologies millénaristes, un nombre croissant d’auteurs, de scientifques et d’institutions annoncent la fin de la civilisation industrielle telle qu'elle s'est constituée depuis plus de deux siècles. Que faut-il penser de ces sombres prédictions ? Pourquoi est-il devenu si dificile d’éviter un tel scénario ? Les auteurs décortiquent les ressorts d’un possible effondrement et proposent un tour d’horizon interdisciplinaire de ce sujet, qu’ils nomment la "collapsologie". En mettant des mots sur des intuitions partagées par beaucoup d’entre nous, ce livre redonne de l’intelligibilité aux phénomènes de "crises" que nous vivons, et surtout, redonne du sens à notre époque. Car aujourd’hui, l’utopie a changé de camp : est utopiste celui qui croit que tout peut continuer comme avant. L’effondrement est l’horizon de notre génération, c’est le début de son avenir. Qu’y aura-t-il après ? Tout cela reste à penser, à imaginer, et à vivre…"
  • Texte imprimé
    IFREE-ORE | 2012.
    <p align="justify">Analyse des retours d'expériences - recensées et enquêtées -, vécues par des praticiens autour de quatre entrées thématiques traditionnelles des actions d’éducation à l’environnement (nature, jardin/alimentation, énergie/eau, déchets/consommation), tout en tenant compte des dispositifs participatifs mis en place avec ce public. Les points de repères proposés portent à la fois sur la préparation du projet et sa menée pédagogique, à travers les questions du partenariat avec le secteur social, de la mobilisation du public, de la mixité sociale dans les actions, et celles de l’adaptation du dispositif pédagogique et des pratiques éducatives mises en œuvre.</p>
  • Document imprimé
    Philippe FRÉMEAUX | 2003.
    25 exemples dans l'insertion, le développement local, la médiation... Les nouveaux gisements d'emplois. Evaluer autrement la création de richesse.
  • Texte imprimé
    Réseau rural Peuple et Culture | 1996.
    Sommaire : - Jardins de Cocagne : la version originale - Des jardins pour vivre et pour exister - Max Havelaar : rééquilibrer les relations Nord-Sud en buvant son café - Consommer, c'est relancer la croissance, mais de qui ? - Du côté des Grandes Surfaces - Citadins-ruraux : une responsabilité partagée - Distributeurs de produits : un métier différent ?