Notices

Etagère(s) sélectionnée(s) :Agriculture et jardins, Société, enjeux et réflexions
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  • Document imprimé
    Valérie ROY | 2021.
    Ressurgit le besoin d'encourager l'éducation à l'environnement, le lien avec la nature au quotidien dès le plus jeune âge. Qu'est-ce qui a freiné ce mouvement d'éducation en plein air amorcé en France dès 1900 et poursuivi dans d'autres pays tels l'Allemagne, la Suède, la Suisse, toute l'Europe du Nord ? Qu'est-ce que la pédagogie par la nature ? Quelles expériences de motricité les enfants font-ils ? Quelles expériences sociales vivent-ils ? Quels jeux développent- ils dans ce type d'espace ? Cet ouvrage rend compte d'observations concrètes réalisées dans la durée au sein d'une structure petite enfance. Il s'appuie sur une recherche théorique dont il restitue les éléments clés. Il met à jour les potentialités offerts aux enfants : liberté, coopération, vécu émotionnel... Il précise les incidences et les modalités pour exercer au sein de ce type d'équipement.
  • Document numérique
    Francine PELLAUD | 2021.
    Si le développement durable a réussi l’exploit de s’immiscer jusqu’au sein de l’économie et que son éducation a investi la plupart des programmes scolaires, force est de constater que, près de 30 ans plus tard, extinctions massives, pollutions, disparités sociales, catastrophes écologiques et surexploitations sont notre pain quotidien. Ce résultat, contre-productif et alarmant, n’est-il pas à attribuer à un concept qui a endormi les consciences plutôt que de les réveiller ? Dès lors quelles sont les questions fondamentales qui doivent guider notre réflexion en tant que penseurs de l’éducation ? Quelle est notre place face à une urgence qui ne peut plus se satisfaire de beaux discours ?
  • Document imprimé
    Anne-Louise NESME | 2020.
    Enfance et nature se conjuguent trop peu souvent ensemble. Nos modes de vie et nos représentations ont peu à peu contribué à cette dissociation. Sans l'avoir choisie, sans même parfois en avoir vraiment conscience, nous autres - parents ou professionnels - cautionnons et favorisons une forme de « production d'enfants hors-sol ». Ce faisant, nous les privons d'un espace de ressources, de plaisir et d'apprentissage. En outre, leur développement et leur bien-être peuvent en être impactés. À plus long terme, se pose la question de savoir comment ces citoyens en devenir pourront protéger demain une nature qui leur est étrangère lorsqu'elle ne leur est pas présentée comme dangereuse. La situation écologique impose pourtant que cette rencontre puisse exister. Sans en faire une nouvelle injonction, ni renoncer à considérer la nécessité de changements plus collectifs, il est possible d'étayer notre positionnement en tant qu'adultes, dans la perspective de faire exister un peu plus la nature pour tous.
  • Document imprimé
    Adeline de Lépinay | 2019.
    Adeline de Lépinay questionne les pratiques et les stratégies militantes pour à la fois obtenir aujourd’hui des améliorations concrètes, et construire la possibilité d’une transformation sociale radicale. Nous auto-organiser, mettre en œuvre et préfigurer dès aujourd’hui autant que possible une culture et des fonctionnements collectifs non-oppressifs, démocratiques et émancipateurs, tout en agissant stratégiquement et aussi « efficacement » que possible face aux urgences sociales et écologiques, sans se laisser gouverner par les habitudes y compris militantes, ni coloniser par la logique capitaliste et néolibérale : lutter pour une société libre, égalitaire, solidaire et écologique nécessite de faire avec des contradictions indépassables, et d’être à la fois humbles et exigeant·es. Dans un aller-retour permanent entre pistes concrètes et réflexions critiques, « Organisons-nous ! Manuel critique » est l’occasion pour toutes celles et ceux qui agissent, quelle que soit leur action, de prendre du recul sur leurs pratiques et une grande bouffée d’énergie et d’ambition pour construire ensemble la transformation sociale.
  • Document numérique
    Thomas BOUCHET | 2019.
    Mémoire de master 2 de Socio-anthropologie Appliquée au Développement Local (2018-2019). Extrait : "De février à juillet 2019, j’ai pu parcourir les Alpes et les territoires de la région Auvergne-Rhône-Alpes (ARA), à la rencontre d’éducateurs et d’éducatrices à l’environnement, qui réfléchissent, proposent, testent, réussissent ou échouent, se remettent en question, doutent... mais construisent pas à pas des outils de sensibilisation sur les changements climatiques. J’y suis allé pour comprendre ce qu’iels font, ce qu’iels pensent et comment iels le vivent. Pour partager avec elleux leurs espoirs, mes craintes (et inversement) face aux incertitudes climatiques et aux solutions à inventer. Pour cela, cette enquête ethnographique se reconnaît comme subjective et située. Elle atteste de fragments de vie, d’expériences passées ou présentes, de sentiers ouverts et de chemins finalement clos. Des tentatives concrètes pour informer, transmettre, réfléchir collectivement ; pour transmettre des connaissances, mais bien plus, rendre attentifs aux transformations de l’environnement."
  • Document imprimé
    Faustine BRUNET | 2018.
    Des papillons, des cerisiers, des limaces, un compost, des mamans et des papas… Mais que partagent-ils ? Un livre jeunesse bilingue qui fera découvrir aux plus petits l’univers du jardin dans les deux langues. Le GRAINE ARA et le Passe jardins ont participé à l'album.
  • Document numérique
    Joséphine SOULIER | 2018.
    Joséphine Soulier a effectué un stage à la DRAAF Auvergne-Rhône-Alpes, accompagnée par le GRAINE Auvergne-Rhône-Alpes. Alors étudiante en Master 2 Sciences Sociales Appliquées à l’Alimentation à l’ISTHIA Toulouse, elle a rédigé ce mémoire : "Les politiques publiques ont déployé de nombreux moyens pour sensibiliser les jeunes au lien alimentation-santé sans toutefois des résultats probants. Se pose alors la question : comment mieux toucher les jeunes? L’objectif poursuivi dans cette étude est l’accompagnement au changement des pratiques alimentaires des jeunes. Une approche transversale de l’alimentation, un décloisonnement au niveau des services et des méthodes de travail basées sur la coopération, l’échange et la collaboration semblent être de bons éléments de réflexion pour penser autrement la sensibilisation des jeunes à l’alimentation durable. L’accompagnement au changement, la socialisation alimentaires des jeunes, la coopération entre acteurs ou encore la communication en matière de sensibilisation ainsi que la méthodologie de recherche déployée et l’analyse des données recueillies (entretiens, colloque régional ou projet de recherche-action) sont tout autant de points qui seront abordés dans ce mémoire."
  • Document imprimé
    Pablo SERVIGNE | 2018.
    La situation critique dans laquelle se trouve la planète n'est plus à démontrer. Des effondrements sont déjà en cours tandis que d’autres s’amorcent, faisant grandir la possibilité d’un emballement global qui signifierait la fin du monde tel que nous le connaissons. Le choix de notre génération est cornélien : soit nous attendons de subir de plein fouet la violence des cataclysmes à venir, soit, pour en éviter certains, nous prenons un virage si serré qu’il déclencherait notre propre fin-du-monde-industriel. L’horizon se trouve désormais au-delà : imaginer la suite, tout en se préparant à vivre des années de désorganisation et d’incertitude. En toute honnêteté, qui est prêt à cela ? Est-il possible de se remettre d’un déluge de mauvaises nouvelles ? Peut-on simplement se contenter de vouloir survivre ? Comment se projeter au-delà, voir plus grand, et trouver des manières de vivre ces effondrements ?
  • Revue/Périodique
    Charlotte SORIN | 2017-2018.
    L’alimentation peut être représentée comme un cycle aussi vaste qu’indispensable. Cycle au cours duquel elle est étroitement liée à l’environnement et aux écosystèmes, aux innombrables personnes qui interviennent, de la production jusqu’au recyclage… en passant par les consommateur·rice·s. De manière transversale, l’alimentation est au coeur de nos sociétés et nous concerne tou·te·s, individuellement et collectivement. Mais quelle alimentation et, par extension, quelle société voulons-nous ? Sommes?nous satisfait·e·s d’une alimentation qui nous mène vers toujours plus de crises sanitaires, sociales, environnementales,économiques… ? L’alimentation est un enjeu de taille… un acte citoyen et un acte politique ! Chacun·e à notre niveau et en fonction de nos possibilités, nous avons le pouvoir d’agir. Et nous sommes de plus en plus nombreux·euses à nous questionner, à avoir envie de comprendre, de s’éduquer… et d’agir !
  • Document imprimé
    LATOUR Bruno | 2017.
    Cet essai voudrait relier trois phénomènes que les commentateurs ont déjà repérés mais dont ils ne voient pas toujours le lien — et par conséquent dont ils ne voient pas l’immense énergie politique qu’on pourrait tirer de leur rapprochement. D’abord la « dérégulation » qui va donner au mot de « globalisation » un sens de plus en plus péjoratif ; ensuite, l’explosion de plus en plus vertigineuse des inégalités ; enfin, l’entreprise systématique pour nier l’existence de la mutation climatique. L’hypothèse est qu’on ne comprend rien aux positions politiques depuis cinquante ans, si l’on ne donne pas une place centrale à la question du climat et à sa dénégation. Tout se passe en effet comme si une partie importante des classes dirigeantes était arrivée à la conclusion qu’il n’y aurait plus assez de place sur terre pour elles et pour le reste de ses habitants. C’est ce qui expliquerait l’explosion des inégalités, l’étendue des dérégulations, la critique de la mondialisation, et, surtout, le désir panique de revenir aux anciennes protections de l’État national. Pour contrer une telle politique, il va falloir atterrir quelque part. D’où l’importance de savoir comment s’orienter. Et donc dessiner quelque chose comme une carte des positions imposées par ce nouveau paysage au sein duquel se redéfinissent non seulement les affects de la vie publique mais aussi ses enjeux.