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Thésaurus actif : Ch Ecologie:ECOLOGIE Défiltrer
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- Texte imprimé[No author mentioned] | Octobre 2006.- Dossier : Briser un cercle vicieux : réduire les déchets - Rencontre : Terry Shinn : Comprendre la recherche scientifique pour mieux l'orienter - Mini-dossier : Les paysans maliens rejettent le coton génétiquement modifié - Coup de projecteur : En matière d'écologie, l'Église réformée d'Angleterre avance - Perspective : Évaluer les entreprises avec des critères écologiques et sociaux fondamentaux
- Revue/PériodiqueNils PEDERSEN | Juin 2021.Les questions environnementales se sont imposées, avec un sentiment d’urgence croissant. Dans le même temps, la nécessité de les associer aux enjeux sociaux s’est affirmé, tant sur le plan institutionnel, avec l’adoption de l’Agenda 2030, que sur le plan des mobilisations citoyennes. L’écologie elle est plus que jamais l’affaire de toutes et tous. Ce 250e numéro pose l'écologie et la société comme des communs en miroir : le défi d’une société écologique interroge notre capacité à mettre en commun des connaissances, des ressources et des moyens d’action pour aborder cette question dans toute sa complexité, et sans concession.
- Texte imprimé[No author mentioned] | Juillet-Août 2001.Sommaire : - Les pentes de la Croix-Rousse - La gryphe libertaire - Non violence : Lyon, ville de la résistance - Restaurer une maison en pisé - Du bioclimatique en lotissement - Rdio Canut, Radio-Calade
- Texte imprimé[No author mentioned] | Décembre-janvier-février 2007.- Dossier : Écologie : de la sensibilisation à l'engagement - Quelques techniques simples pour amener les gens à s'engager librement - L'empreinte écologique, pour comprendre les limites de la planète - Le défi de Nicolas Hulot - Rencontre : Thomas Stocker : le réchauffement climatique est un fait - Mini-dossier : La désertification peut être beaucoup mieux combattue
- Texte imprimé[No author mentioned] | Déc. 1999.VIE ASSOCIATIVE : - Assemblée générale "Quelque chose a changé" MÉCÉNAT : - Fondation EDF : 9 ans déjà DOSSIER : Chronique de la protection de la nature, des sites et des paysages
- Document impriméLuc SEMAL | 2019.Depuis les premières alertes des années 1970 jusqu’aux débats contemporains sur l’Anthropocène, Luc Semal retrace l’émergence et l’évolution des mobilisations aux prises avec les limites à la croissance et la perspective d’un effondrement global. Leur catastrophisme est envisagé non pas comme une fascination paralysante pour le désastre, mais comme une pensée politique propice à la délibération et à l’action. Des mouvements comme ceux de la décroissance et des Transition Towns réinventent des projets écologistes entre sobriété heureuse et désastres annoncés. Par leurs luttes et leurs expérimentations locales, ces mobilisations à l’ombre des catastrophes esquissent les contours d’une démocratie post-pétrole et post-croissance.
- Document impriméCyril DION | 2018.Que faire face à l'effondrement écologique qui se produit sous nos yeux ? Dans ce petit livre incisif et pratique, l'auteur de "Demain" s'interroge sur la nature et sur l'ampleur de la réponse à apporter à cette question. Ne sommes-nous pas face à un bouleversement aussi considérable qu'une guerre mondiale ? Dès lors, n'est-il pas nécessaire d'entrer en résistance contre la logique à l'origine de cette destruction massive et frénétique de nos écosystèmes, comme d'autres sont entrés en résistance contre la barbarie nazie ? Mais résister contre qui ? Cette logique n'est-elle pas autant en nous qu'à l'extérieur de nous ? Résister devient alors un acte de transformation intérieure autant que d'engagement sociétal... Avec cet ouvrage, Cyril Dion propose de nombreuses pistes d'actions : individuelles, collectives, politiques, mais, plus encore, nous invite a considérer la place des récits comme moteur principal de l'évolution des sociétés. Il nous enjoint de considérer chacune de nos initiatives comme le ferment d'une nouvelle histoire et de renouer avec notre élan vital. A mener une existence où chaque chose que nous faisons, depuis notre métier jusqu'aux tâches les plus quotidiennes, participe à construire le monde dons lequel nous voulons vivre. Un monde où notre épanouissement personnel ne se fait pas aux dépens des autres et de la nature, mais contribue à leur équilibre.
- Document impriméAlessandro PIGNOCCHI | 2017.Dans cette bande dessinée pleine d'humour, Alessandro Pignocchi met en scène un anthropologue jivaro qui étudie et protège la culture occidentale traditionnelle, dont ne subsistent que quelques exemples en France. Car dans ce monde inversé, animaux (dont humains) et plantes sont considérés comme étant égaux intellectuellement et sentimentalement, et un concombre peut tout-à-fait se faire élire aux prochaines élections ! Un ensemble de tableaux à savourer d'un œil malicieux. La phrase qui tue : " Maman à quoi ça sert la nature ? - A rien mon chéri, tout comme toi."
- Document impriméJade LINDGAARD | 2014.Cet ouvrage met en exergue l'aveuglement collectif du genre humain face à l'actuelle crise environnementale.
- Texte impriméChristophe BONNEUIL | 2013."Les scientifiques nous l’annoncent : la Terre est entrée dans une nouvelle époque géologique, l’Anthropocène, né il y a deux siècles avec la révolution industrielle et la machine à vapeur. L’agir technique humain et notre modèle de développement font basculer le système terre vers des états inédits depuis des millions d’années et hautement imprédictibles. La temporalité longue de la terre et de l’évolution et la temporalité de l’histoire humaine, que la modernité industrielle du XIXe siècle avait soigneusement séparées se télescopent à présent, questionnant non seulement notre modernité industrielle mais aussi les méthodes en usage de recherche historique. Cette situation invite les historiens à inventer de nouvelles méthodes : l’historien ne peut plus rester dans sa tour d’ivoire ; il importe de développer les interactions avec les sciences "dures", mais sans retomber dans une histoire naturaliste. Il s’agit aussi de poser de nouvelles questions et d’inventer de nouveaux récits pour donner sens aux 250 dernières années. Comment en sommes-nous arrivés là ? Quelle appréhension du passé peut nous permettre de penser la crise environnementale contemporaine et favoriser la nécessaire transition écologique ?"