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    Alice CALVET | 2022.
    Comment, à partir d’une recette de cuisine, peut-on débattre autour de l’agriculture et de l’alimentation, comment peut-on penser et agir pour transformer les territoires vers plus de justice sociale et environnementale ? Dans ce livre, ou plutôt outil pédagogique, le Réseau Marguerite propose de déployer sa démarche d’éducation agri-alimentaire, à travers la problématisation de 14 recettes de cuisine. Le livre traite un enjeu concret de nos systèmes alimentaires dans chaque recette, et illustre sa complexité à travers des connaissances, des extraits scientifiques, des liens vers des séances pédagogiques, des interviews d’acteurs et actrices, des pistes de débats à travailler en classe. Chaque lecteur.trice pourra s’inspirer des thématiques mises en avant et les transmettre à travers un projet pédagogique dans lequel les jeunes seront encouragé.es à prendre la parole, développer leur curiosité, aiguiser leur esprit critique et leur argumentation. Ce livre est donc un outil à diffuser aux enseignant.es, aux formateur.trices, aux étudiant.es et aux curieux.ses de l’alimentation, pour : - se poser des questions et élaborer une réflexion critique sur l’agriculture, l’alimentation et la situation planétaire actuelle ; - mettre en avant le rôle de la jeunesse et des lieux éducatifs dans les transformations des territoires ; - inspirer d’autres projets en éducation agri-alimentaire. A savoir que chacune des recettes de cuisine est originale et a été créée par des collégien.nes lors de projets Marguerite antérieurs, elles ont été proposé lors d’un concours de cuisine inter-étabissements, le Vénichefs, organisé à Venissieux en 2017 et 2018.
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    François GEMENNE | 2021.
    Comme dans la première édition en 2019, l’Atelier de cartographie a cherché des (re-)présentations les plus adaptées aux thématiques et aux données tout en explorant des pistes nouvelles, sans manquer de transmettre un message graphique le plus clair possible : changement climatique, érosion de la biodiversité, évolution démographique, urbanisation, pollution atmosphérique, détérioration des sols, catastrophes naturelles, accidents industriels, mais aussi crises sanitaires, pandémies, mobilisations sociales, sommets internationaux, méga feux de forets (Sibérie)…
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    Charlène GRUET | 2021.
    Sous le béton, la biodiversité de nos villes ! Quel citadin n'a jamais ressenti un irrépressible besoin de nature ? Que ce soit pour notre santé physique et psychologique, comme pour celle de l'écosystème, (re)nouer un lien équilibré avec la nature s'avère indispensable. Alors pourquoi limiter nos contacts à la nature aux seules échappées hors de la ville ? Vivre la nature en ville propose aux urbains une multitude d'idées concrètes pour mieux appréhender la nature dans notre vie de tous les jours bien souvent trop stressante, betonnée et où le temps nous échappe. Véritable invitation à ralentir, observer et à cultiver nos liens au vivant, cet ouvrage donne l'impulsion et les clés nécessaires pour prendre le temps d'explorer au quotidien, avec curiosité et ouverture, la nature en ville. Il est grand temps de mettre nos sens en éveil pour mieux percevoir le vivant en milieu urbain.
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    Adeline de Lépinay | 2019.
    Adeline de Lépinay questionne les pratiques et les stratégies militantes pour à la fois obtenir aujourd’hui des améliorations concrètes, et construire la possibilité d’une transformation sociale radicale. Nous auto-organiser, mettre en œuvre et préfigurer dès aujourd’hui autant que possible une culture et des fonctionnements collectifs non-oppressifs, démocratiques et émancipateurs, tout en agissant stratégiquement et aussi « efficacement » que possible face aux urgences sociales et écologiques, sans se laisser gouverner par les habitudes y compris militantes, ni coloniser par la logique capitaliste et néolibérale : lutter pour une société libre, égalitaire, solidaire et écologique nécessite de faire avec des contradictions indépassables, et d’être à la fois humbles et exigeant·es. Dans un aller-retour permanent entre pistes concrètes et réflexions critiques, « Organisons-nous ! Manuel critique » est l’occasion pour toutes celles et ceux qui agissent, quelle que soit leur action, de prendre du recul sur leurs pratiques et une grande bouffée d’énergie et d’ambition pour construire ensemble la transformation sociale.
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    Alexandre BOISSON | 2019.
    Selon les auteurs, les motifs d’un effondrement augmentent rapidement ; ils en développent les causes nombreuses. Crises géopolitiques, financières, économiques, sociales, écologiques et désorganisation des réseaux de distribution : d’où viendront les premiers symptômes ? Or, en cas de problème, vers qui vont se tourner les citoyens ? Vers leur maire ! C’est pourquoi il est prudent de se préparer à l’autonomie et à la résilience. Face à l’effondrement, si j’étais maire ? est une alerte à l’intention des élus – en particulier les maires et les conseillers des communes rurales – ainsi que des citoyens : comment organiser l’autonomie des services vitaux des communes et, sans rien attendre de l’État, les rendre les plus résilientes possible ? Les auteurs développent au fil des pages des pistes d’une autonomie locale, entre autre, l’approvisionnement en eau, en nourriture, en énergie, les services de santé, avec des annexes très concrètes.
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    Luc SEMAL | 2019.
    Depuis les premières alertes des années 1970 jusqu’aux débats contemporains sur l’Anthropocène, Luc Semal retrace l’émergence et l’évolution des mobilisations aux prises avec les limites à la croissance et la perspective d’un effondrement global. Leur catastrophisme est envisagé non pas comme une fascination paralysante pour le désastre, mais comme une pensée politique propice à la délibération et à l’action. Des mouvements comme ceux de la décroissance et des Transition Towns réinventent des projets écologistes entre sobriété heureuse et désastres annoncés. Par leurs luttes et leurs expérimentations locales, ces mobilisations à l’ombre des catastrophes esquissent les contours d’une démocratie post-pétrole et post-croissance.
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    Christian CHEVALIER | 2019.
    L’éducation populaire n’a rien perdu de son héritage fondateur : celui d’une société inclusive qui garantit à chacune et chacun l’exercice d’une citoyenneté pleine et entière dans la République. L’enjeu de cet avis est de mettre en lumière sa modernité notamment au regard des débats sur la participation citoyenne aux décisions publiques. Il propose vingt préconisations concrètes pour restaurer et valoriser ses démarches, permettre aux multiples actrices et acteurs de sortir de l’invisibilité. Elles s’articulent autour de cinq grands axes : investir dans les politiques publiques d’éducation populaire pour contribuer à réconcilier la société ; développer le lien social pour conforter la citoyenneté ; sécuriser le modèle économique ; former les différents acteurs et reconnaître leurs compétences ; favoriser l’engagement et renouveler la gouvernance.
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    [No author mentioned] | 2019.
    Dans cette ouvrage, présentant 12 interventions autour de la psychologie positive, un chapitre est consacré aux "Effets d’un programme de psychologie positive sur les éco-gestes : le projet Cohérence-Soi-Environnement en Action (COSE-Action)" au cours duquel 60 personnes ont été sensibilisées à la psychologie positive dans 3 entreprises. Ce projet de recherche-action a été porté par la Maison de la Nature et de l'Environnement de I'Isère (MNEI) en partenariat avec le laboratoire de psychologie de l’Université Grenoble Alpes (UGA) et financé par l’ADEME.
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    Cyril DION | 2018.
    Que faire face à l'effondrement écologique qui se produit sous nos yeux ? Dans ce petit livre incisif et pratique, l'auteur de "Demain" s'interroge sur la nature et sur l'ampleur de la réponse à apporter à cette question. Ne sommes-nous pas face à un bouleversement aussi considérable qu'une guerre mondiale ? Dès lors, n'est-il pas nécessaire d'entrer en résistance contre la logique à l'origine de cette destruction massive et frénétique de nos écosystèmes, comme d'autres sont entrés en résistance contre la barbarie nazie ? Mais résister contre qui ? Cette logique n'est-elle pas autant en nous qu'à l'extérieur de nous ? Résister devient alors un acte de transformation intérieure autant que d'engagement sociétal... Avec cet ouvrage, Cyril Dion propose de nombreuses pistes d'actions : individuelles, collectives, politiques, mais, plus encore, nous invite a considérer la place des récits comme moteur principal de l'évolution des sociétés. Il nous enjoint de considérer chacune de nos initiatives comme le ferment d'une nouvelle histoire et de renouer avec notre élan vital. A mener une existence où chaque chose que nous faisons, depuis notre métier jusqu'aux tâches les plus quotidiennes, participe à construire le monde dons lequel nous voulons vivre. Un monde où notre épanouissement personnel ne se fait pas aux dépens des autres et de la nature, mais contribue à leur équilibre.
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    LATOUR Bruno | 2017.
    Cet essai voudrait relier trois phénomènes que les commentateurs ont déjà repérés mais dont ils ne voient pas toujours le lien — et par conséquent dont ils ne voient pas l’immense énergie politique qu’on pourrait tirer de leur rapprochement. D’abord la « dérégulation » qui va donner au mot de « globalisation » un sens de plus en plus péjoratif ; ensuite, l’explosion de plus en plus vertigineuse des inégalités ; enfin, l’entreprise systématique pour nier l’existence de la mutation climatique. L’hypothèse est qu’on ne comprend rien aux positions politiques depuis cinquante ans, si l’on ne donne pas une place centrale à la question du climat et à sa dénégation. Tout se passe en effet comme si une partie importante des classes dirigeantes était arrivée à la conclusion qu’il n’y aurait plus assez de place sur terre pour elles et pour le reste de ses habitants. C’est ce qui expliquerait l’explosion des inégalités, l’étendue des dérégulations, la critique de la mondialisation, et, surtout, le désir panique de revenir aux anciennes protections de l’État national. Pour contrer une telle politique, il va falloir atterrir quelque part. D’où l’importance de savoir comment s’orienter. Et donc dessiner quelque chose comme une carte des positions imposées par ce nouveau paysage au sein duquel se redéfinissent non seulement les affects de la vie publique mais aussi ses enjeux.