Notices

Etagère(s) sélectionnée(s) :Société, enjeux et réflexions
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  • Revue/Périodique
    Nils PEDERSEN | Septembre 2021.
    Ce supplément à la Tribune Fonda n°251 éclaire une série de grands sujets pour lesquels les associations ont, par leur action, contribué à faire avancer la société et la démocratie, en faisant valoir de nouveaux droits, en y donnant accès ou encore en portant des solutions innovantes.
  • Revue/Périodique
    Nils PEDERSEN | Septembre 2021.
    La Tribune Fonda n°251 cherche à comprendre les racines et manifestations de notre impuissance démocratique tout en explorant les voies d’un renouvellement démocratique par l’affirmation citoyenne d’un pouvoir d’agir ensemble. Ce numéro est accompagné d'un supplément pour les 40 ans de la Fonda : « Ce que nous devons aux associations ».
  • Document imprimé
    François GEMENNE | 2021.
    Comme dans la première édition en 2019, l’Atelier de cartographie a cherché des (re-)présentations les plus adaptées aux thématiques et aux données tout en explorant des pistes nouvelles, sans manquer de transmettre un message graphique le plus clair possible : changement climatique, érosion de la biodiversité, évolution démographique, urbanisation, pollution atmosphérique, détérioration des sols, catastrophes naturelles, accidents industriels, mais aussi crises sanitaires, pandémies, mobilisations sociales, sommets internationaux, méga feux de forets (Sibérie)…
  • Document numérique
    Francine PELLAUD | 2021.
    Si le développement durable a réussi l’exploit de s’immiscer jusqu’au sein de l’économie et que son éducation a investi la plupart des programmes scolaires, force est de constater que, près de 30 ans plus tard, extinctions massives, pollutions, disparités sociales, catastrophes écologiques et surexploitations sont notre pain quotidien. Ce résultat, contre-productif et alarmant, n’est-il pas à attribuer à un concept qui a endormi les consciences plutôt que de les réveiller ? Dès lors quelles sont les questions fondamentales qui doivent guider notre réflexion en tant que penseurs de l’éducation ? Quelle est notre place face à une urgence qui ne peut plus se satisfaire de beaux discours ?
  • Document imprimé
    Valérie Masson-Delmotte | 2020.
    Nos Futurs est une anthologie de textes destinés à sensibiliser, à informer et à produire des récits autour des enjeux du changement climatique. Cette anthologie est composée de 10 textes de science, 10 textes de fiction : 20 regards issus de la rencontre entre scientifiques et créateurs d'imaginaire. Ce livre part d’un double constat. D’une part, la transition écologique au sens large, et les changements radicaux qui l‘accompagnent, intéressent et préoccupent un public de plus en plus large, qui cherche des moyens de se saisir du sujet. D’autre part, alors que l’homme est un animal d’histoires, nous manquons de récits pour nous approprier ces futurs, souhaités ou subis.
  • Document imprimé
    Christian CHEVALIER | 2019.
    L’éducation populaire n’a rien perdu de son héritage fondateur : celui d’une société inclusive qui garantit à chacune et chacun l’exercice d’une citoyenneté pleine et entière dans la République. L’enjeu de cet avis est de mettre en lumière sa modernité notamment au regard des débats sur la participation citoyenne aux décisions publiques. Il propose vingt préconisations concrètes pour restaurer et valoriser ses démarches, permettre aux multiples actrices et acteurs de sortir de l’invisibilité. Elles s’articulent autour de cinq grands axes : investir dans les politiques publiques d’éducation populaire pour contribuer à réconcilier la société ; développer le lien social pour conforter la citoyenneté ; sécuriser le modèle économique ; former les différents acteurs et reconnaître leurs compétences ; favoriser l’engagement et renouveler la gouvernance.
  • Document numérique
    Thomas BOUCHET | 2019.
    Mémoire de master 2 de Socio-anthropologie Appliquée au Développement Local (2018-2019). Extrait : "De février à juillet 2019, j’ai pu parcourir les Alpes et les territoires de la région Auvergne-Rhône-Alpes (ARA), à la rencontre d’éducateurs et d’éducatrices à l’environnement, qui réfléchissent, proposent, testent, réussissent ou échouent, se remettent en question, doutent... mais construisent pas à pas des outils de sensibilisation sur les changements climatiques. J’y suis allé pour comprendre ce qu’iels font, ce qu’iels pensent et comment iels le vivent. Pour partager avec elleux leurs espoirs, mes craintes (et inversement) face aux incertitudes climatiques et aux solutions à inventer. Pour cela, cette enquête ethnographique se reconnaît comme subjective et située. Elle atteste de fragments de vie, d’expériences passées ou présentes, de sentiers ouverts et de chemins finalement clos. Des tentatives concrètes pour informer, transmettre, réfléchir collectivement ; pour transmettre des connaissances, mais bien plus, rendre attentifs aux transformations de l’environnement."
  • Document imprimé
    LATOUR Bruno | 2015.
    James Lovelock n’a pas eu de chance avec l’hypothèse Gaïa. En nommant par ce vieux mythe grec le système fragile et complexe par lequel les phénomènes vivants modifient la Terre, on a cru qu’il parlait d’un organisme unique, d’un thermostat géant, voire d’une Providence divine. Rien n’était plus éloigné de sa tentative. Gaïa n’est pas le Globe, n’est pas la Terre-Mère, n’est pas une déesse païenne, mais elle n’est pas non plus la Nature, telle qu’on l’imagine depuis le XVIIe siècle, cette Nature qui sert de pendant à la subjectivité humaine. La Nature constituait l’arrière-plan de nos actions. Or, à cause des effets imprévus de l’histoire humaine, ce que nous regroupions sous le nom de Nature quitte l’arrière-plan et monte sur scène. L’air, les océans, les glaciers, le climat, les sols, tout ce que nous avons rendu instable, interagit avec nous. Nous sommes entrés dans la géohistoire. C’est l’époque de l’Anthropocène. Avec le risque d’une guerre de tous contre tous. L’ancienne Nature disparaît et laisse la place à un être dont il est difficile de prévoir les manifestations. Cet être, loin d’être stable et rassurant, semble constitué d’un ensemble de boucles de rétroactions en perpétuel bouleversement. Gaïa est le nom qui lui convient le mieux. En explorant les mille figures de Gaïa, on peut déplier tout ce que la notion de Nature avait confondu : une éthique, une politique, une étrange conception des sciences et, surtout, une économie et même une théologie.
  • Document imprimé
    Réseaux et collectifs d'EEDD en ARA | 2015.
    Ce document rassemble des propositions en faveur d'une politique régionale en éducation à l'environnement. Il a été écrit collectivement par les réseaux d'EEDD d'Auvergne-Rhône-Alpes.
  • Document imprimé
    SCOP Le Pavé | 2014.
    Qu’avons-nous fait de ce qu’on a fait de nous ? Qu’arrivons-nous à infléchir de nos parcours ? Qu’est-ce qui a fabriqué nos engagements ? Ce cahier se pose ces questions et tente de réinterroger cette pratique des récits de vie. Parce que si nous ne sommes pas tous à égalité de discours sur tel ou tel sujet, tous, nous avons à raconter des choses sur le sujet… Il se trouve que notre usage de l’autobiographie dans la parole politique n’est pas isolé. Nous ne sommes pas les seuls à utiliser ce pouvoir de la narration. Certains se demandent d’ailleurs s’il s’agit d’un nouveau tournant dans les sciences sociales. Raison de plus pour nous de préciser dans quelle intention nous pratiquons ces exercices de récits de vie, d’en décrire finement les conditions, de soulever des questions que cela nous pose et de partager les effets que nous en percevons.