Notices

Etagère(s) sélectionnée(s) :Société, enjeux et réflexions, Outils pédagogiques
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  • Revue/Périodique
    Nils PEDERSEN | Septembre 2021.
    Ce supplément à la Tribune Fonda n°251 éclaire une série de grands sujets pour lesquels les associations ont, par leur action, contribué à faire avancer la société et la démocratie, en faisant valoir de nouveaux droits, en y donnant accès ou encore en portant des solutions innovantes.
  • Revue/Périodique
    Nils PEDERSEN | Septembre 2021.
    La Tribune Fonda n°251 cherche à comprendre les racines et manifestations de notre impuissance démocratique tout en explorant les voies d’un renouvellement démocratique par l’affirmation citoyenne d’un pouvoir d’agir ensemble. Ce numéro est accompagné d'un supplément pour les 40 ans de la Fonda : « Ce que nous devons aux associations ».
  • Revue/Périodique
    [No author mentioned] | quatrième trimestre 2020.
    En cette période de crise sanitaire, les personnes âgées sont plus que jamais isolées, menacées. Après la pandémie, il faudra recréer du lien entre les générations. « Cela va prendre du temps, car désormais les générations ont peur l’une pour l’autre », confie un directeur de maison de repos dans le nouveau numéro de Symbioses. Pour construire dès à présent cet « après », le magazine de l’éducation à l’environnement est parti à la découverte de projets écologiques intergénérationnels menés avant ou pendant le confinement. Car l’éducation à l’environnement n’a pas d’âge. A côté des reportages, des analyses et pistes pédagogiques, ce nouveau numéro vous propose une sélection d’outils et d’adresses, utiles à toutes celles et ceux qui souhaitent cultiver la solidarité intergénérationnelle.
  • Document imprimé
    Alice CALVET | 2022.
    Comment, à partir d’une recette de cuisine, peut-on débattre autour de l’agriculture et de l’alimentation, comment peut-on penser et agir pour transformer les territoires vers plus de justice sociale et environnementale ? Dans ce livre, ou plutôt outil pédagogique, le Réseau Marguerite propose de déployer sa démarche d’éducation agri-alimentaire, à travers la problématisation de 14 recettes de cuisine. Le livre traite un enjeu concret de nos systèmes alimentaires dans chaque recette, et illustre sa complexité à travers des connaissances, des extraits scientifiques, des liens vers des séances pédagogiques, des interviews d’acteurs et actrices, des pistes de débats à travailler en classe. Chaque lecteur.trice pourra s’inspirer des thématiques mises en avant et les transmettre à travers un projet pédagogique dans lequel les jeunes seront encouragé.es à prendre la parole, développer leur curiosité, aiguiser leur esprit critique et leur argumentation. Ce livre est donc un outil à diffuser aux enseignant.es, aux formateur.trices, aux étudiant.es et aux curieux.ses de l’alimentation, pour : - se poser des questions et élaborer une réflexion critique sur l’agriculture, l’alimentation et la situation planétaire actuelle ; - mettre en avant le rôle de la jeunesse et des lieux éducatifs dans les transformations des territoires ; - inspirer d’autres projets en éducation agri-alimentaire. A savoir que chacune des recettes de cuisine est originale et a été créée par des collégien.nes lors de projets Marguerite antérieurs, elles ont été proposé lors d’un concours de cuisine inter-étabissements, le Vénichefs, organisé à Venissieux en 2017 et 2018.
  • Outils pédagogiques
    SMIRIL, Syndicat Mixte du Rhône, des îles et des lônes (Grigny; France, Grigny, France) | 2021.
    Les professionnels de l’éducation à l’environnement font le constat que si le changement climatique est bien un thème au cœur des préoccupations actuelles des citoyens, il n’est pas facile à aborder. Phénomène global et encore abstrait, il est difficilement perceptible dans la vallée du Rhône fortement anthropisée où les enjeux sont complexes et les facteurs entremêlés. En se dotant d’outils fonctionnels et partagés, il s’agit aujourd’hui d’ancrer cette thématique dans les programmes de sensibilisation au fleuve à destination des publics scolaires et auprès du grand public. « Parlons climat au bord du Rhône » a été conçu pour être utilisé de deux manières différentes : - Embarquer le public dans un parcours cohérent, logique, progressif, pour passer du global au local, du constat à l’action, via 3 modules opérationnels, presque « clef en main », avec une attention particulière sur les émotions. Un carnet de bord permet de faire le point à la fin de chaque module. - « Piocher » dans une boîte à outils pédagogiques pour aborder la question du changement climatique selon ses propres envies, en s’inspirant des propositions d’activités ou en enrichissant ses connaissances locales. - Publics cibles : Ces outils sont diffusés auprès de l’ensemble des acteurs de la communauté éducative qui mènent des projets d’éducation à l’environnement autour du fleuve Rhône : enseignants, médiateurs, éducateurs à l’environnement. - Publics indirects : scolaires des cycles 3 et 4, grand public.
  • Document imprimé
    Adeline de Lépinay | 2019.
    Adeline de Lépinay questionne les pratiques et les stratégies militantes pour à la fois obtenir aujourd’hui des améliorations concrètes, et construire la possibilité d’une transformation sociale radicale. Nous auto-organiser, mettre en œuvre et préfigurer dès aujourd’hui autant que possible une culture et des fonctionnements collectifs non-oppressifs, démocratiques et émancipateurs, tout en agissant stratégiquement et aussi « efficacement » que possible face aux urgences sociales et écologiques, sans se laisser gouverner par les habitudes y compris militantes, ni coloniser par la logique capitaliste et néolibérale : lutter pour une société libre, égalitaire, solidaire et écologique nécessite de faire avec des contradictions indépassables, et d’être à la fois humbles et exigeant·es. Dans un aller-retour permanent entre pistes concrètes et réflexions critiques, « Organisons-nous ! Manuel critique » est l’occasion pour toutes celles et ceux qui agissent, quelle que soit leur action, de prendre du recul sur leurs pratiques et une grande bouffée d’énergie et d’ambition pour construire ensemble la transformation sociale.
  • Document imprimé
    Alexandre BOISSON | 2019.
    Selon les auteurs, les motifs d’un effondrement augmentent rapidement ; ils en développent les causes nombreuses. Crises géopolitiques, financières, économiques, sociales, écologiques et désorganisation des réseaux de distribution : d’où viendront les premiers symptômes ? Or, en cas de problème, vers qui vont se tourner les citoyens ? Vers leur maire ! C’est pourquoi il est prudent de se préparer à l’autonomie et à la résilience. Face à l’effondrement, si j’étais maire ? est une alerte à l’intention des élus – en particulier les maires et les conseillers des communes rurales – ainsi que des citoyens : comment organiser l’autonomie des services vitaux des communes et, sans rien attendre de l’État, les rendre les plus résilientes possible ? Les auteurs développent au fil des pages des pistes d’une autonomie locale, entre autre, l’approvisionnement en eau, en nourriture, en énergie, les services de santé, avec des annexes très concrètes.
  • Document imprimé
    Luc SEMAL | 2019.
    Depuis les premières alertes des années 1970 jusqu’aux débats contemporains sur l’Anthropocène, Luc Semal retrace l’émergence et l’évolution des mobilisations aux prises avec les limites à la croissance et la perspective d’un effondrement global. Leur catastrophisme est envisagé non pas comme une fascination paralysante pour le désastre, mais comme une pensée politique propice à la délibération et à l’action. Des mouvements comme ceux de la décroissance et des Transition Towns réinventent des projets écologistes entre sobriété heureuse et désastres annoncés. Par leurs luttes et leurs expérimentations locales, ces mobilisations à l’ombre des catastrophes esquissent les contours d’une démocratie post-pétrole et post-croissance.
  • Document imprimé
    Christian CHEVALIER | 2019.
    L’éducation populaire n’a rien perdu de son héritage fondateur : celui d’une société inclusive qui garantit à chacune et chacun l’exercice d’une citoyenneté pleine et entière dans la République. L’enjeu de cet avis est de mettre en lumière sa modernité notamment au regard des débats sur la participation citoyenne aux décisions publiques. Il propose vingt préconisations concrètes pour restaurer et valoriser ses démarches, permettre aux multiples actrices et acteurs de sortir de l’invisibilité. Elles s’articulent autour de cinq grands axes : investir dans les politiques publiques d’éducation populaire pour contribuer à réconcilier la société ; développer le lien social pour conforter la citoyenneté ; sécuriser le modèle économique ; former les différents acteurs et reconnaître leurs compétences ; favoriser l’engagement et renouveler la gouvernance.
  • Document imprimé
    LATOUR Bruno | 2017.
    Cet essai voudrait relier trois phénomènes que les commentateurs ont déjà repérés mais dont ils ne voient pas toujours le lien — et par conséquent dont ils ne voient pas l’immense énergie politique qu’on pourrait tirer de leur rapprochement. D’abord la « dérégulation » qui va donner au mot de « globalisation » un sens de plus en plus péjoratif ; ensuite, l’explosion de plus en plus vertigineuse des inégalités ; enfin, l’entreprise systématique pour nier l’existence de la mutation climatique. L’hypothèse est qu’on ne comprend rien aux positions politiques depuis cinquante ans, si l’on ne donne pas une place centrale à la question du climat et à sa dénégation. Tout se passe en effet comme si une partie importante des classes dirigeantes était arrivée à la conclusion qu’il n’y aurait plus assez de place sur terre pour elles et pour le reste de ses habitants. C’est ce qui expliquerait l’explosion des inégalités, l’étendue des dérégulations, la critique de la mondialisation, et, surtout, le désir panique de revenir aux anciennes protections de l’État national. Pour contrer une telle politique, il va falloir atterrir quelque part. D’où l’importance de savoir comment s’orienter. Et donc dessiner quelque chose comme une carte des positions imposées par ce nouveau paysage au sein duquel se redéfinissent non seulement les affects de la vie publique mais aussi ses enjeux.