Notices

Etagère(s) sélectionnée(s) :Santé et environnement
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  • Revue/Périodique
    Charlotte SORIN | 2017-2018.
    L’alimentation peut être représentée comme un cycle aussi vaste qu’indispensable. Cycle au cours duquel elle est étroitement liée à l’environnement et aux écosystèmes, aux innombrables personnes qui interviennent, de la production jusqu’au recyclage… en passant par les consommateur·rice·s. De manière transversale, l’alimentation est au coeur de nos sociétés et nous concerne tou·te·s, individuellement et collectivement. Mais quelle alimentation et, par extension, quelle société voulons-nous ? Sommes?nous satisfait·e·s d’une alimentation qui nous mène vers toujours plus de crises sanitaires, sociales, environnementales,économiques… ? L’alimentation est un enjeu de taille… un acte citoyen et un acte politique ! Chacun·e à notre niveau et en fonction de nos possibilités, nous avons le pouvoir d’agir. Et nous sommes de plus en plus nombreux·euses à nous questionner, à avoir envie de comprendre, de s’éduquer… et d’agir !
  • Document imprimé
    Etienne AMIET | 2018.
    Qu’il soit question de «conflit de voisinage», de «crise sanitaire» ou d’«atteintes à la biodiversité», la question de l’exposition des riverains aux pesticides connait une visibilité croissante dans l’espace public. À travers une démarche résolument empirique, ce livre décrit le processus par lequel un trouble éprouvé déborde du strict confinement à la sphère domestique ou agricole pour devenir un enjeu public de santé-environnementale. L’incidence des produits phytosanitaires sur l’environnement est souvent présentée sous l’angle de l’incertitude et de la multiplicité des facteurs de causalité. Quelles sont alors les prises sur lesquelles s’appuient les différents acteurs pour gérer l’incertitude?? Quels sont les ressorts des frictions entre agriculteurs et riverains auxquelles donne lieu la projection-dispersion de pesticides dans l’air?? Que disent les scientifiques, les juristes et les acteurs politico-administratifs face au «?riverain bavard » plus ou moins revendicatif?? Autant de questions auxquelles Etienne Amiet répond à partir d’une enquête ethnographique basée sur le suivi d’expériences collectives dans deux villages de la région Rhône-Alpes.
  • Document multimédia
    Elsa ALLOIN | 2018.
    Synthèse du stage d’Elsa Alloin, étudiante en Master 2, Philosophie, Ecologie Ethique et Développement Durable réalisé dans le cadre de la Boutique des Sciences et encadré par le GRAINE Auvergne-Rhône-Alpes.
  • Document multimédia
    Elsa ALLOIN | 2018.
    Mémoire de stage "Master 2 Éthique Écologie et Développement Durable". Extrait : "Il me parait donc intéressant de soulever la problématique suivante : la nature doit-elle être bonne pour la santé ? Il peut paraître anthropomorphique de se demander si la nature « doit » quelque chose, mais « nous » sommes en fait sous-entendus dans la question : doit-on considérer que la nature doit être bonne pour notre santé ? Comme nous avons de plus en plus le pouvoir de plier la nature à notre volonté, et que nos sociétés reposent sur l’idée que nous en sommes comme les maîtres et possesseurs, le problème prend tout son sens, à la fois politiquement, économiquement et culturellement. La lutte politique contre la crise écologique prend par exemple beaucoup plus d’ampleur face à la perspective du danger qu’elle représente pour nous que face à un appauvrissement de la biodiversité. L’industrie pharmaceutique est le premier marché économique mondial. La préoccupation vis-à-vis de la santé est immense à de nombreux niveaux, il s’agira ici d’éclaircir les liens qu’elle entretient avec la nature. Un de ces liens tient une place primordiale dans le jeu entre nature et santé : la relation de pouvoir. Encore une fois nous sommes sous-entendus entre ces deux termes, notre volonté de contrôle sur l’un et l’autre ou sur l’un par l’autre, change en fonction des époques et des endroits."
  • Document numérique
    Joséphine SOULIER | 2018.
    Joséphine Soulier a effectué un stage à la DRAAF Auvergne-Rhône-Alpes, accompagnée par le GRAINE Auvergne-Rhône-Alpes. Alors étudiante en Master 2 Sciences Sociales Appliquées à l’Alimentation à l’ISTHIA Toulouse, elle a rédigé ce mémoire : "Les politiques publiques ont déployé de nombreux moyens pour sensibiliser les jeunes au lien alimentation-santé sans toutefois des résultats probants. Se pose alors la question : comment mieux toucher les jeunes? L’objectif poursuivi dans cette étude est l’accompagnement au changement des pratiques alimentaires des jeunes. Une approche transversale de l’alimentation, un décloisonnement au niveau des services et des méthodes de travail basées sur la coopération, l’échange et la collaboration semblent être de bons éléments de réflexion pour penser autrement la sensibilisation des jeunes à l’alimentation durable. L’accompagnement au changement, la socialisation alimentaires des jeunes, la coopération entre acteurs ou encore la communication en matière de sensibilisation ainsi que la méthodologie de recherche déployée et l’analyse des données recueillies (entretiens, colloque régional ou projet de recherche-action) sont tout autant de points qui seront abordés dans ce mémoire."
  • Document imprimé
    Charlène GRUET | 2021.
    Sous le béton, la biodiversité de nos villes ! Quel citadin n'a jamais ressenti un irrépressible besoin de nature ? Que ce soit pour notre santé physique et psychologique, comme pour celle de l'écosystème, (re)nouer un lien équilibré avec la nature s'avère indispensable. Alors pourquoi limiter nos contacts à la nature aux seules échappées hors de la ville ? Vivre la nature en ville propose aux urbains une multitude d'idées concrètes pour mieux appréhender la nature dans notre vie de tous les jours bien souvent trop stressante, betonnée et où le temps nous échappe. Véritable invitation à ralentir, observer et à cultiver nos liens au vivant, cet ouvrage donne l'impulsion et les clés nécessaires pour prendre le temps d'explorer au quotidien, avec curiosité et ouverture, la nature en ville. Il est grand temps de mettre nos sens en éveil pour mieux percevoir le vivant en milieu urbain.
  • Revue/Périodique
    [No author mentioned] | Avril 2021.
    L’actuelle crise de la Covid-19 le rappelle : loin d’appartenir au passe?, les maladies infectieuses d’origine animale, ou zoonoses, constituent une menace majeure pour l’humanite?. Dans l’espoir de mieux faire face a? des risques sanitaires similaires a? l’avenir, la recherche s’organise. Que sait-on des zoonoses ? Quels de?fis faut-il relever pour s’en pre?munir ? Quelles avance?es importantes ont e?te? faites re?cemment ? Re?ponses.
  • Revue/Périodique
    [No author mentioned] | Déc. 2020.
    Ce numéro a fait l'objet d'une rédaction particulièrement collective, dans le cadre d'un dossier consacré à la crise sanitaire de la COVID-19 et à ses impacts sur l'EEDD.
  • Texte imprimé
    AFSSET Agence Francaise de Sécurité Sanitaire de l'Environnement et du Travail (France, France) | décembre 2005.
    Dossier d'information visant à rassembler sous une forme synthétique et rapide les informations scientifiques communément admises sur les principaux risques sanitaires d'origines environnementales. Ce dossier est organisé selon une série de fiches de synthèses selon quatre entrées : une entrée consacrée à la problématique générale de la santé-environnement et trois entrées thématiques : pathologies, agents, environnements et milieux.
  • Revue/Périodique
    [No author mentioned] | Décembre 2020.
    Les maladies mentales restent encore bien trop souvent considérées comme un sujet tabou. Nous peinons à les reconnaître comme des troubles ordinaires qui peuvent nous toucher ainsi que nos proches, et à intervenir lorsque c’est nécessaire. Difficile en effet de faire correspondre les tourments prive?s dont nous faisons l’expérience dans notre intimité psychique, avec des dérèglements plus généraux qui pourraient avoir une origine environnementale et biologique, et que l’on pourrait étudier à l’échelle de groupes humains. Aujourd’hui, la recherche biomédicale a pour de?fi de tisser ces correspondances afin de mieux soigner, mais aussi de casser les stéréotypes qui freinent l’accès aux soins. Car, non, ce n’est pas que dans notre te?te.