Notices

Etagère(s) sélectionnée(s) :Métiers, formation et professionnalisation, Société, enjeux et réflexions
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  • Revue/Périodique
    Nils PEDERSEN | Septembre 2021.
    Ce supplément à la Tribune Fonda n°251 éclaire une série de grands sujets pour lesquels les associations ont, par leur action, contribué à faire avancer la société et la démocratie, en faisant valoir de nouveaux droits, en y donnant accès ou encore en portant des solutions innovantes.
  • Revue/Périodique
    Nils PEDERSEN | Septembre 2021.
    La Tribune Fonda n°251 cherche à comprendre les racines et manifestations de notre impuissance démocratique tout en explorant les voies d’un renouvellement démocratique par l’affirmation citoyenne d’un pouvoir d’agir ensemble. Ce numéro est accompagné d'un supplément pour les 40 ans de la Fonda : « Ce que nous devons aux associations ».
  • Revue/Périodique
    [No author mentioned] | quatrième trimestre 2020.
    En cette période de crise sanitaire, les personnes âgées sont plus que jamais isolées, menacées. Après la pandémie, il faudra recréer du lien entre les générations. « Cela va prendre du temps, car désormais les générations ont peur l’une pour l’autre », confie un directeur de maison de repos dans le nouveau numéro de Symbioses. Pour construire dès à présent cet « après », le magazine de l’éducation à l’environnement est parti à la découverte de projets écologiques intergénérationnels menés avant ou pendant le confinement. Car l’éducation à l’environnement n’a pas d’âge. A côté des reportages, des analyses et pistes pédagogiques, ce nouveau numéro vous propose une sélection d’outils et d’adresses, utiles à toutes celles et ceux qui souhaitent cultiver la solidarité intergénérationnelle.
  • Document numérique
    Francine PELLAUD | 2021.
    Si le développement durable a réussi l’exploit de s’immiscer jusqu’au sein de l’économie et que son éducation a investi la plupart des programmes scolaires, force est de constater que, près de 30 ans plus tard, extinctions massives, pollutions, disparités sociales, catastrophes écologiques et surexploitations sont notre pain quotidien. Ce résultat, contre-productif et alarmant, n’est-il pas à attribuer à un concept qui a endormi les consciences plutôt que de les réveiller ? Dès lors quelles sont les questions fondamentales qui doivent guider notre réflexion en tant que penseurs de l’éducation ? Quelle est notre place face à une urgence qui ne peut plus se satisfaire de beaux discours ?
  • Document imprimé
    Adeline de Lépinay | 2019.
    Adeline de Lépinay questionne les pratiques et les stratégies militantes pour à la fois obtenir aujourd’hui des améliorations concrètes, et construire la possibilité d’une transformation sociale radicale. Nous auto-organiser, mettre en œuvre et préfigurer dès aujourd’hui autant que possible une culture et des fonctionnements collectifs non-oppressifs, démocratiques et émancipateurs, tout en agissant stratégiquement et aussi « efficacement » que possible face aux urgences sociales et écologiques, sans se laisser gouverner par les habitudes y compris militantes, ni coloniser par la logique capitaliste et néolibérale : lutter pour une société libre, égalitaire, solidaire et écologique nécessite de faire avec des contradictions indépassables, et d’être à la fois humbles et exigeant·es. Dans un aller-retour permanent entre pistes concrètes et réflexions critiques, « Organisons-nous ! Manuel critique » est l’occasion pour toutes celles et ceux qui agissent, quelle que soit leur action, de prendre du recul sur leurs pratiques et une grande bouffée d’énergie et d’ambition pour construire ensemble la transformation sociale.
  • Document imprimé
    Luc SEMAL | 2019.
    Depuis les premières alertes des années 1970 jusqu’aux débats contemporains sur l’Anthropocène, Luc Semal retrace l’émergence et l’évolution des mobilisations aux prises avec les limites à la croissance et la perspective d’un effondrement global. Leur catastrophisme est envisagé non pas comme une fascination paralysante pour le désastre, mais comme une pensée politique propice à la délibération et à l’action. Des mouvements comme ceux de la décroissance et des Transition Towns réinventent des projets écologistes entre sobriété heureuse et désastres annoncés. Par leurs luttes et leurs expérimentations locales, ces mobilisations à l’ombre des catastrophes esquissent les contours d’une démocratie post-pétrole et post-croissance.
  • Document imprimé
    Christian CHEVALIER | 2019.
    L’éducation populaire n’a rien perdu de son héritage fondateur : celui d’une société inclusive qui garantit à chacune et chacun l’exercice d’une citoyenneté pleine et entière dans la République. L’enjeu de cet avis est de mettre en lumière sa modernité notamment au regard des débats sur la participation citoyenne aux décisions publiques. Il propose vingt préconisations concrètes pour restaurer et valoriser ses démarches, permettre aux multiples actrices et acteurs de sortir de l’invisibilité. Elles s’articulent autour de cinq grands axes : investir dans les politiques publiques d’éducation populaire pour contribuer à réconcilier la société ; développer le lien social pour conforter la citoyenneté ; sécuriser le modèle économique ; former les différents acteurs et reconnaître leurs compétences ; favoriser l’engagement et renouveler la gouvernance.
  • Document imprimé
    LATOUR Bruno | 2017.
    Cet essai voudrait relier trois phénomènes que les commentateurs ont déjà repérés mais dont ils ne voient pas toujours le lien — et par conséquent dont ils ne voient pas l’immense énergie politique qu’on pourrait tirer de leur rapprochement. D’abord la « dérégulation » qui va donner au mot de « globalisation » un sens de plus en plus péjoratif ; ensuite, l’explosion de plus en plus vertigineuse des inégalités ; enfin, l’entreprise systématique pour nier l’existence de la mutation climatique. L’hypothèse est qu’on ne comprend rien aux positions politiques depuis cinquante ans, si l’on ne donne pas une place centrale à la question du climat et à sa dénégation. Tout se passe en effet comme si une partie importante des classes dirigeantes était arrivée à la conclusion qu’il n’y aurait plus assez de place sur terre pour elles et pour le reste de ses habitants. C’est ce qui expliquerait l’explosion des inégalités, l’étendue des dérégulations, la critique de la mondialisation, et, surtout, le désir panique de revenir aux anciennes protections de l’État national. Pour contrer une telle politique, il va falloir atterrir quelque part. D’où l’importance de savoir comment s’orienter. Et donc dessiner quelque chose comme une carte des positions imposées par ce nouveau paysage au sein duquel se redéfinissent non seulement les affects de la vie publique mais aussi ses enjeux.
  • Document imprimé
    Isabelle JEANNIN | 2017.
    Isabelle Jeannin, alors étudiante en Master 2 de Philosophie « Éthique, Écologie et Développement Durable » à Lyon 3, a réalisé un stage à l’URCPIE dans le cadre du dispositif de la Boutique des Sciences. Ce stage a donné lieu à à cette synthèse ainsi qu'à un mémoire intitulé «L’accompagnement aux changements a-t-il une place dans l’évolution des métiers de l’EEDD ?», également référencé sur ce site et accessible en version PDF.
  • Document numérique
    Isabelle JEANNIN | 2017.
    "Un métier qui évolue, des enjeux qui se diversifient et toujours cette opposition entre le besoin d’agir vite et l’éducation qui nécessite du temps. De quels moyens le professionnel de l’éducation à l’environnement et au développement durable (EEDD) peut-il s’emparer pour permettre à chacun de s’éveiller au monde et de se sentir relié et responsable ? C’est sans doute dans ses postures qu’il peut trouver une réponse. Tantôt expert, tantôt animateur, il a su sensibiliser, intéresser ses publics mais aujourd’hui cela ne suffit plus. Les hommes ont besoin d’être accompagnés pour changer. Une nouvelle posture est donc indispensable, celle de l’accompagnant. Accompagner le changement c’est permettre à l’autre de se mettre sur le chemin de sa conscience, d’interroger ses valeurs et de donner du sens à ce changement pour qu’il soit durable. Permettre à chacun de participer aux décisions pour réussir durablement le vivre ensemble sur terre. Reste à définir le meilleur moyen pour y parvenir tout en continuant à enrichir cette dynamique dans le réseau." Isabelle Jeannin, alors étudiante en Master 2 de Philosophie « Ethique, Ecologie et Développement Durable » à Lyon 3, a réalisé un stage à l’URCPIE dans le cadre du dispositif de la Boutique des Sciences qui a donné lieu à ce mémoire.