Notices

Etagère(s) sélectionnée(s) :Métiers, formation et professionnalisation, Société, enjeux et réflexions
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  • Document numérique
    Isabelle JEANNIN | 2017.
    "Un métier qui évolue, des enjeux qui se diversifient et toujours cette opposition entre le besoin d’agir vite et l’éducation qui nécessite du temps. De quels moyens le professionnel de l’éducation à l’environnement et au développement durable (EEDD) peut-il s’emparer pour permettre à chacun de s’éveiller au monde et de se sentir relié et responsable ? C’est sans doute dans ses postures qu’il peut trouver une réponse. Tantôt expert, tantôt animateur, il a su sensibiliser, intéresser ses publics mais aujourd’hui cela ne suffit plus. Les hommes ont besoin d’être accompagnés pour changer. Une nouvelle posture est donc indispensable, celle de l’accompagnant. Accompagner le changement c’est permettre à l’autre de se mettre sur le chemin de sa conscience, d’interroger ses valeurs et de donner du sens à ce changement pour qu’il soit durable. Permettre à chacun de participer aux décisions pour réussir durablement le vivre ensemble sur terre. Reste à définir le meilleur moyen pour y parvenir tout en continuant à enrichir cette dynamique dans le réseau." Isabelle Jeannin, alors étudiante en Master 2 de Philosophie « Ethique, Ecologie et Développement Durable » à Lyon 3, a réalisé un stage à l’URCPIE dans le cadre du dispositif de la Boutique des Sciences qui a donné lieu à ce mémoire.
  • Document imprimé
    Cynthia FLEURY | 2017.
    La nature nous relie les uns aux autres et à l'ensemble du vivant. Mais quelles expériences avons-nous aujourd'hui de la nature ? Celles-ci, ou leur absence, façonnent-elles nos façons de vivre et de penser, d'agir et de gouverner ? Existe-t-il une valeur ajoutée de l'expérience de nature pour l'éthique et la politique ? Il est urgent de préserver un " souci de la nature " qui soit au coeur des institutions, des politiques publiques, de nos dynamiques de transmission et d'apprentissage. Cet ouvrage, s'affranchissant des frontières disciplinaires, interroge, de l'enfance à l'âge vieillissant, de l'individu aux différents collectifs qui organisent nos vies, la spécificité des expériences de nature, et de leur éventuelle extinction, l'hypothèse de l'amnésie environnementale, ou à l'inverse les nouveaux modes de partage et de reconnexion avec la nature, et leur continuum avec notre humanisme. Une invitation à inventer un mode de partage.
  • Document imprimé
    LATOUR Bruno | 2015.
    James Lovelock n’a pas eu de chance avec l’hypothèse Gaïa. En nommant par ce vieux mythe grec le système fragile et complexe par lequel les phénomènes vivants modifient la Terre, on a cru qu’il parlait d’un organisme unique, d’un thermostat géant, voire d’une Providence divine. Rien n’était plus éloigné de sa tentative. Gaïa n’est pas le Globe, n’est pas la Terre-Mère, n’est pas une déesse païenne, mais elle n’est pas non plus la Nature, telle qu’on l’imagine depuis le XVIIe siècle, cette Nature qui sert de pendant à la subjectivité humaine. La Nature constituait l’arrière-plan de nos actions. Or, à cause des effets imprévus de l’histoire humaine, ce que nous regroupions sous le nom de Nature quitte l’arrière-plan et monte sur scène. L’air, les océans, les glaciers, le climat, les sols, tout ce que nous avons rendu instable, interagit avec nous. Nous sommes entrés dans la géohistoire. C’est l’époque de l’Anthropocène. Avec le risque d’une guerre de tous contre tous. L’ancienne Nature disparaît et laisse la place à un être dont il est difficile de prévoir les manifestations. Cet être, loin d’être stable et rassurant, semble constitué d’un ensemble de boucles de rétroactions en perpétuel bouleversement. Gaïa est le nom qui lui convient le mieux. En explorant les mille figures de Gaïa, on peut déplier tout ce que la notion de Nature avait confondu : une éthique, une politique, une étrange conception des sciences et, surtout, une économie et même une théologie.
  • Document numérique
    GRAINE Rhône-Alpes | 2015.
    Dans le cadre de la Programmation Qualifiante, Certifiante et Professionnalisante (PQCP)2015-2017, la Région Rhône-Alpes a financé des formations professionnelles continues. Chaque formation comprenait un module de 4 heures de sensibilisation au développement durable. Le GRAINE Rhône-Alpes a élaboré des outils pédagogiques que les formateurs pourront utiliser pour animer ce module de sensibilisation au développement durable.
  • Document imprimé
    Pablo SERVIGNE | 2015.
    "Et si notre civilisation s'effondrait ? Non pas dans plusieurs siècles, mais de notre vivant. Loin des prédictions Maya et autres eschatologies millénaristes, un nombre croissant d’auteurs, de scientifques et d’institutions annoncent la fin de la civilisation industrielle telle qu'elle s'est constituée depuis plus de deux siècles. Que faut-il penser de ces sombres prédictions ? Pourquoi est-il devenu si dificile d’éviter un tel scénario ? Les auteurs décortiquent les ressorts d’un possible effondrement et proposent un tour d’horizon interdisciplinaire de ce sujet, qu’ils nomment la "collapsologie". En mettant des mots sur des intuitions partagées par beaucoup d’entre nous, ce livre redonne de l’intelligibilité aux phénomènes de "crises" que nous vivons, et surtout, redonne du sens à notre époque. Car aujourd’hui, l’utopie a changé de camp : est utopiste celui qui croit que tout peut continuer comme avant. L’effondrement est l’horizon de notre génération, c’est le début de son avenir. Qu’y aura-t-il après ? Tout cela reste à penser, à imaginer, et à vivre…"
  • Document imprimé
    GRAINE Rhône-Alpes | 2014.
    Synthèse des 3es Assises nationales de l'éducation à l'environnement vers un développement durable organisées à Lyon en 2013 par le GRAINE Rhône-Alpes et le CFEEDD.