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Etagère(s) sélectionnée(s) :Métiers, formation et professionnalisation, Société, enjeux et réflexions, Outils pédagogiques
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  • Texte imprimé
    [No author mentioned] | Juillet 2009.
    Dossier : Métiers bio, une exigence de formation - Le plan de développement de l'agriculture biologique et l'enseignement agricole - Un lycée agricole en conversion - Le réseau Formabio - Bio, une dynamique pédagogique - Une licence pro transformation - Des formations bio en Rhône-Alpes
  • Document imprimé
    Alice CALVET | 2022.
    Comment, à partir d’une recette de cuisine, peut-on débattre autour de l’agriculture et de l’alimentation, comment peut-on penser et agir pour transformer les territoires vers plus de justice sociale et environnementale ? Dans ce livre, ou plutôt outil pédagogique, le Réseau Marguerite propose de déployer sa démarche d’éducation agri-alimentaire, à travers la problématisation de 14 recettes de cuisine. Le livre traite un enjeu concret de nos systèmes alimentaires dans chaque recette, et illustre sa complexité à travers des connaissances, des extraits scientifiques, des liens vers des séances pédagogiques, des interviews d’acteurs et actrices, des pistes de débats à travailler en classe. Chaque lecteur.trice pourra s’inspirer des thématiques mises en avant et les transmettre à travers un projet pédagogique dans lequel les jeunes seront encouragé.es à prendre la parole, développer leur curiosité, aiguiser leur esprit critique et leur argumentation. Ce livre est donc un outil à diffuser aux enseignant.es, aux formateur.trices, aux étudiant.es et aux curieux.ses de l’alimentation, pour : - se poser des questions et élaborer une réflexion critique sur l’agriculture, l’alimentation et la situation planétaire actuelle ; - mettre en avant le rôle de la jeunesse et des lieux éducatifs dans les transformations des territoires ; - inspirer d’autres projets en éducation agri-alimentaire. A savoir que chacune des recettes de cuisine est originale et a été créée par des collégien.nes lors de projets Marguerite antérieurs, elles ont été proposé lors d’un concours de cuisine inter-étabissements, le Vénichefs, organisé à Venissieux en 2017 et 2018.
  • Document imprimé
    François GEMENNE | 2021.
    Comme dans la première édition en 2019, l’Atelier de cartographie a cherché des (re-)présentations les plus adaptées aux thématiques et aux données tout en explorant des pistes nouvelles, sans manquer de transmettre un message graphique le plus clair possible : changement climatique, érosion de la biodiversité, évolution démographique, urbanisation, pollution atmosphérique, détérioration des sols, catastrophes naturelles, accidents industriels, mais aussi crises sanitaires, pandémies, mobilisations sociales, sommets internationaux, méga feux de forets (Sibérie)…
  • Outils pédagogiques
    SMIRIL, Syndicat Mixte du Rhône, des îles et des lônes (Grigny; France, Grigny, France) | 2021.
    Les professionnels de l’éducation à l’environnement font le constat que si le changement climatique est bien un thème au cœur des préoccupations actuelles des citoyens, il n’est pas facile à aborder. Phénomène global et encore abstrait, il est difficilement perceptible dans la vallée du Rhône fortement anthropisée où les enjeux sont complexes et les facteurs entremêlés. En se dotant d’outils fonctionnels et partagés, il s’agit aujourd’hui d’ancrer cette thématique dans les programmes de sensibilisation au fleuve à destination des publics scolaires et auprès du grand public. « Parlons climat au bord du Rhône » a été conçu pour être utilisé de deux manières différentes : - Embarquer le public dans un parcours cohérent, logique, progressif, pour passer du global au local, du constat à l’action, via 3 modules opérationnels, presque « clef en main », avec une attention particulière sur les émotions. Un carnet de bord permet de faire le point à la fin de chaque module. - « Piocher » dans une boîte à outils pédagogiques pour aborder la question du changement climatique selon ses propres envies, en s’inspirant des propositions d’activités ou en enrichissant ses connaissances locales. - Publics cibles : Ces outils sont diffusés auprès de l’ensemble des acteurs de la communauté éducative qui mènent des projets d’éducation à l’environnement autour du fleuve Rhône : enseignants, médiateurs, éducateurs à l’environnement. - Publics indirects : scolaires des cycles 3 et 4, grand public.
  • Document numérique
    Francine PELLAUD | 2021.
    Si le développement durable a réussi l’exploit de s’immiscer jusqu’au sein de l’économie et que son éducation a investi la plupart des programmes scolaires, force est de constater que, près de 30 ans plus tard, extinctions massives, pollutions, disparités sociales, catastrophes écologiques et surexploitations sont notre pain quotidien. Ce résultat, contre-productif et alarmant, n’est-il pas à attribuer à un concept qui a endormi les consciences plutôt que de les réveiller ? Dès lors quelles sont les questions fondamentales qui doivent guider notre réflexion en tant que penseurs de l’éducation ? Quelle est notre place face à une urgence qui ne peut plus se satisfaire de beaux discours ?
  • Document imprimé
    Valérie Masson-Delmotte | 2020.
    Nos Futurs est une anthologie de textes destinés à sensibiliser, à informer et à produire des récits autour des enjeux du changement climatique. Cette anthologie est composée de 10 textes de science, 10 textes de fiction : 20 regards issus de la rencontre entre scientifiques et créateurs d'imaginaire. Ce livre part d’un double constat. D’une part, la transition écologique au sens large, et les changements radicaux qui l‘accompagnent, intéressent et préoccupent un public de plus en plus large, qui cherche des moyens de se saisir du sujet. D’autre part, alors que l’homme est un animal d’histoires, nous manquons de récits pour nous approprier ces futurs, souhaités ou subis.
  • Document numérique
    Thomas BOUCHET | 2019.
    Mémoire de master 2 de Socio-anthropologie Appliquée au Développement Local (2018-2019). Extrait : "De février à juillet 2019, j’ai pu parcourir les Alpes et les territoires de la région Auvergne-Rhône-Alpes (ARA), à la rencontre d’éducateurs et d’éducatrices à l’environnement, qui réfléchissent, proposent, testent, réussissent ou échouent, se remettent en question, doutent... mais construisent pas à pas des outils de sensibilisation sur les changements climatiques. J’y suis allé pour comprendre ce qu’iels font, ce qu’iels pensent et comment iels le vivent. Pour partager avec elleux leurs espoirs, mes craintes (et inversement) face aux incertitudes climatiques et aux solutions à inventer. Pour cela, cette enquête ethnographique se reconnaît comme subjective et située. Elle atteste de fragments de vie, d’expériences passées ou présentes, de sentiers ouverts et de chemins finalement clos. Des tentatives concrètes pour informer, transmettre, réfléchir collectivement ; pour transmettre des connaissances, mais bien plus, rendre attentifs aux transformations de l’environnement."
  • Document imprimé
    Isabelle JEANNIN | 2017.
    Isabelle Jeannin, alors étudiante en Master 2 de Philosophie « Éthique, Écologie et Développement Durable » à Lyon 3, a réalisé un stage à l’URCPIE dans le cadre du dispositif de la Boutique des Sciences. Ce stage a donné lieu à à cette synthèse ainsi qu'à un mémoire intitulé «L’accompagnement aux changements a-t-il une place dans l’évolution des métiers de l’EEDD ?», également référencé sur ce site et accessible en version PDF.
  • Document numérique
    Isabelle JEANNIN | 2017.
    "Un métier qui évolue, des enjeux qui se diversifient et toujours cette opposition entre le besoin d’agir vite et l’éducation qui nécessite du temps. De quels moyens le professionnel de l’éducation à l’environnement et au développement durable (EEDD) peut-il s’emparer pour permettre à chacun de s’éveiller au monde et de se sentir relié et responsable ? C’est sans doute dans ses postures qu’il peut trouver une réponse. Tantôt expert, tantôt animateur, il a su sensibiliser, intéresser ses publics mais aujourd’hui cela ne suffit plus. Les hommes ont besoin d’être accompagnés pour changer. Une nouvelle posture est donc indispensable, celle de l’accompagnant. Accompagner le changement c’est permettre à l’autre de se mettre sur le chemin de sa conscience, d’interroger ses valeurs et de donner du sens à ce changement pour qu’il soit durable. Permettre à chacun de participer aux décisions pour réussir durablement le vivre ensemble sur terre. Reste à définir le meilleur moyen pour y parvenir tout en continuant à enrichir cette dynamique dans le réseau." Isabelle Jeannin, alors étudiante en Master 2 de Philosophie « Ethique, Ecologie et Développement Durable » à Lyon 3, a réalisé un stage à l’URCPIE dans le cadre du dispositif de la Boutique des Sciences qui a donné lieu à ce mémoire.
  • Document imprimé
    LATOUR Bruno | 2015.
    James Lovelock n’a pas eu de chance avec l’hypothèse Gaïa. En nommant par ce vieux mythe grec le système fragile et complexe par lequel les phénomènes vivants modifient la Terre, on a cru qu’il parlait d’un organisme unique, d’un thermostat géant, voire d’une Providence divine. Rien n’était plus éloigné de sa tentative. Gaïa n’est pas le Globe, n’est pas la Terre-Mère, n’est pas une déesse païenne, mais elle n’est pas non plus la Nature, telle qu’on l’imagine depuis le XVIIe siècle, cette Nature qui sert de pendant à la subjectivité humaine. La Nature constituait l’arrière-plan de nos actions. Or, à cause des effets imprévus de l’histoire humaine, ce que nous regroupions sous le nom de Nature quitte l’arrière-plan et monte sur scène. L’air, les océans, les glaciers, le climat, les sols, tout ce que nous avons rendu instable, interagit avec nous. Nous sommes entrés dans la géohistoire. C’est l’époque de l’Anthropocène. Avec le risque d’une guerre de tous contre tous. L’ancienne Nature disparaît et laisse la place à un être dont il est difficile de prévoir les manifestations. Cet être, loin d’être stable et rassurant, semble constitué d’un ensemble de boucles de rétroactions en perpétuel bouleversement. Gaïa est le nom qui lui convient le mieux. En explorant les mille figures de Gaïa, on peut déplier tout ce que la notion de Nature avait confondu : une éthique, une politique, une étrange conception des sciences et, surtout, une économie et même une théologie.