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Etagère(s) sélectionnée(s) :Eau, Société, enjeux et réflexions
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    [No author mentioned] | Septembre-octobre-novembre-décembre 2004.
    Réflexion - Éthique et développement durable Espace Mendès France - Journées d'étude sur le développement durable Sensibilisation - "L'eau, des qualités, des défauts" fête de l'eau Formations Ifrée - L'interprétation au service du territoire - Développer l'éducation à l'environnement dans les sports de plein air Circulaire du 8 juillet 2004 - Généralisation d'une éducation à l'environnement pour un développement durable - rentrée 2004 Pôle national de ressources en EE - Une nouvelle plate-forme Du côté des entreprises - Une association d'entreprises "citoyennes" en Poitou-Charentes Fiche thématique - Arbre, haie, forêt en éducation à l'environnement
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    [No author mentioned] | Été 2011.
    Sommaire : -Campagne "éco-gestes dans la vie de tous les jours" : test de l'action - La campagne inf'eau mer - Dossier : air et pollution - L'éducation à la montagne : une nécessité pour le développement harmonieux de l'espace alpin - Zoom sur le métier d'animateur / éducateur nature
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    François GEMENNE | 2021.
    Comme dans la première édition en 2019, l’Atelier de cartographie a cherché des (re-)présentations les plus adaptées aux thématiques et aux données tout en explorant des pistes nouvelles, sans manquer de transmettre un message graphique le plus clair possible : changement climatique, érosion de la biodiversité, évolution démographique, urbanisation, pollution atmosphérique, détérioration des sols, catastrophes naturelles, accidents industriels, mais aussi crises sanitaires, pandémies, mobilisations sociales, sommets internationaux, méga feux de forets (Sibérie)…
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    Bettina LAVILLE | 2021.
    Le Comité 21 se penche ici sur les apports des sciences cognitives dans l'appréhension des changements climatiques : quels effets potentiels et réels sur la santé mentale? Quels facteurs psycho-cognitifs impactent les processus décisionnels liés à l'adaptation?
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    Valérie Masson-Delmotte | 2020.
    Nos Futurs est une anthologie de textes destinés à sensibiliser, à informer et à produire des récits autour des enjeux du changement climatique. Cette anthologie est composée de 10 textes de science, 10 textes de fiction : 20 regards issus de la rencontre entre scientifiques et créateurs d'imaginaire. Ce livre part d’un double constat. D’une part, la transition écologique au sens large, et les changements radicaux qui l‘accompagnent, intéressent et préoccupent un public de plus en plus large, qui cherche des moyens de se saisir du sujet. D’autre part, alors que l’homme est un animal d’histoires, nous manquons de récits pour nous approprier ces futurs, souhaités ou subis.
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    Anne-Louise NESME | 2020.
    Enfance et nature se conjuguent trop peu souvent ensemble. Nos modes de vie et nos représentations ont peu à peu contribué à cette dissociation. Sans l'avoir choisie, sans même parfois en avoir vraiment conscience, nous autres - parents ou professionnels - cautionnons et favorisons une forme de « production d'enfants hors-sol ». Ce faisant, nous les privons d'un espace de ressources, de plaisir et d'apprentissage. En outre, leur développement et leur bien-être peuvent en être impactés. À plus long terme, se pose la question de savoir comment ces citoyens en devenir pourront protéger demain une nature qui leur est étrangère lorsqu'elle ne leur est pas présentée comme dangereuse. La situation écologique impose pourtant que cette rencontre puisse exister. Sans en faire une nouvelle injonction, ni renoncer à considérer la nécessité de changements plus collectifs, il est possible d'étayer notre positionnement en tant qu'adultes, dans la perspective de faire exister un peu plus la nature pour tous.
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    Glenn ALBRECHT | 2019.
    L’ampleur des bouleversements de l’Anthropocène est telle que les mots pour décrire les émotions n’existent pas toujours. Dans cet ouvrage, l’éminent scientifique Glenn Albrecht propose une vision du monde radicalement nouvelle pour sortir de la crise écologique. En créant le concept de Symbiocène qui se substitue à l’ère Anthropocène il nous faut inventer de nouveaux noms pour qu’advienne un nouveau monde. Un livre événement !
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    Thomas BOUCHET | 2019.
    Mémoire de master 2 de Socio-anthropologie Appliquée au Développement Local (2018-2019). Extrait : "De février à juillet 2019, j’ai pu parcourir les Alpes et les territoires de la région Auvergne-Rhône-Alpes (ARA), à la rencontre d’éducateurs et d’éducatrices à l’environnement, qui réfléchissent, proposent, testent, réussissent ou échouent, se remettent en question, doutent... mais construisent pas à pas des outils de sensibilisation sur les changements climatiques. J’y suis allé pour comprendre ce qu’iels font, ce qu’iels pensent et comment iels le vivent. Pour partager avec elleux leurs espoirs, mes craintes (et inversement) face aux incertitudes climatiques et aux solutions à inventer. Pour cela, cette enquête ethnographique se reconnaît comme subjective et située. Elle atteste de fragments de vie, d’expériences passées ou présentes, de sentiers ouverts et de chemins finalement clos. Des tentatives concrètes pour informer, transmettre, réfléchir collectivement ; pour transmettre des connaissances, mais bien plus, rendre attentifs aux transformations de l’environnement."
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    LATOUR Bruno | 2015.
    James Lovelock n’a pas eu de chance avec l’hypothèse Gaïa. En nommant par ce vieux mythe grec le système fragile et complexe par lequel les phénomènes vivants modifient la Terre, on a cru qu’il parlait d’un organisme unique, d’un thermostat géant, voire d’une Providence divine. Rien n’était plus éloigné de sa tentative. Gaïa n’est pas le Globe, n’est pas la Terre-Mère, n’est pas une déesse païenne, mais elle n’est pas non plus la Nature, telle qu’on l’imagine depuis le XVIIe siècle, cette Nature qui sert de pendant à la subjectivité humaine. La Nature constituait l’arrière-plan de nos actions. Or, à cause des effets imprévus de l’histoire humaine, ce que nous regroupions sous le nom de Nature quitte l’arrière-plan et monte sur scène. L’air, les océans, les glaciers, le climat, les sols, tout ce que nous avons rendu instable, interagit avec nous. Nous sommes entrés dans la géohistoire. C’est l’époque de l’Anthropocène. Avec le risque d’une guerre de tous contre tous. L’ancienne Nature disparaît et laisse la place à un être dont il est difficile de prévoir les manifestations. Cet être, loin d’être stable et rassurant, semble constitué d’un ensemble de boucles de rétroactions en perpétuel bouleversement. Gaïa est le nom qui lui convient le mieux. En explorant les mille figures de Gaïa, on peut déplier tout ce que la notion de Nature avait confondu : une éthique, une politique, une étrange conception des sciences et, surtout, une économie et même une théologie.
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    Agence de l'Eau Rhône-Méditerranée-Corse | 2015.
    Les économies d'eau triomphent en 2014 avec 70 Mm3 d'eau économisés, soit l'équivalent de la consommation d'une ville d'1 million d'habitants, et après une année 2013 déjà record. Les opérations restaurant le fonctionnement naturel des rivières qui ont été déformées montent en flèche alors qu’elles étaient inconnues il y a encore quelques années. C'est l'heure des travaux avec plus de 1200 chantiers engagés sur les rivières : on n'a jamais atteint un tel niveau. Signe que la politique de contractualisation de l’agence avec les collectivités et les grands aménageurs porte ses fruits. La gestion du temps pluie se confirme comme la priorité actuelle pour l'assainissement. Promues par un 2e appel à projets, les techniques alternatives (noues et fossés d'infiltration) séduisent aussi les élus. Les collectivités s'emparent également des démarches "zéro pesticide" pour rendre leurs espaces urbains sains, sous l'effet de la loi Labbé qui impose la suppression des pesticides en ville pour 2016. 2014 a vu en revanche un ralentissement pour la protection des captages et plus globalement un trou d'air dans les investissements agricoles dû à la fin de la PAC actuelle en attendant le démarrage de la suivante. Les investissements industriels sont restés importants pour réduire les rejets de substances dangereuses dans les rivières avec un nombre significatif d'opérations sur les sites prioritaires.