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Etagère(s) sélectionnée(s) :Déchets, Littérature et ouvrages jeunesse
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    [No author mentioned] | Hiver 2010.
    Dossier : déchets et consommation, un tandem vers l'écoresponsabilité Poster : initiatives à la pelle
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    Sarah WAUQUIEZ | 2021.
    Cet ouvrage de référence a été conçu par les pédagogues de la Fondation Silviva et testé par plus de 170 enseignants. Classées par disciplines (langues, maths, arts, sciences humaines et sociales, corps et mouvement) et organisées en 40 séquences, ces 200 activités pédagogiques proposent de mettre en scène les apprentissages du PER des cycles I et II dans des situations concrètes en extérieur. L’ouvrage comprend également un argumentaire sur les bénéfices d’enseigner dehors. Composer un abécédaire naturel, apprendre la symétrie avec les feuilles, créer une oeuvre de land art, s’orienter dans l’espace... Quand l’enfant peut s’investir à 100% dans son environnement, plaisir et mémorisation sont au rendez-vous.
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    Alessandro PIGNOCCHI | 2020.
    Grâce à une troupe de mésanges punks (qui ont renversé les États), la pensée animiste s’installe progressivement sur l’ensemble de la planète : les plantes et les animaux sont désormais considérés comme des personnes et les chefs n’ont plus de pouvoir. Le cœur brisé de voir la culture occidentale s’éteindre, un anthropologue jivaro tente vaillamment de sauvegarder les enclaves où se sont réfugiés nos ex-dirigeants politiques. Le monde inversé qui se dessine ainsi nous aide à envisager l’avenir avec optimisme et enthousiasme.
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    Faustine BRUNET | 2018.
    Des papillons, des cerisiers, des limaces, un compost, des mamans et des papas… Mais que partagent-ils ? Un livre jeunesse bilingue qui fera découvrir aux plus petits l’univers du jardin dans les deux langues. Le GRAINE ARA et le Passe jardins ont participé à l'album.
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    Alessandro PIGNOCCHI | 2018.
    "Des mésanges punks qui se mêlent de politique, des hommes politiques plus animistes que des Indiens d'Amazonie, un anthropologue jivaro qui tente de sauver ce qui reste de la culture occidentale. Voici quelques habitants de ce monde nouveau où le concept de nature a disparu, où les plantes et les animaux sont considérés comme des partenaires sociaux ordinaires et où le pouvoir n'exerce plus aucun attrait. Après la lecture de ce livre, vous ne regarderez plus jamais les mésanges et les hommes politiques de la même façon".
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    Alessandro PIGNOCCHI | 2017.
    Dans cette bande dessinée pleine d'humour, Alessandro Pignocchi met en scène un anthropologue jivaro qui étudie et protège la culture occidentale traditionnelle, dont ne subsistent que quelques exemples en France. Car dans ce monde inversé, animaux (dont humains) et plantes sont considérés comme étant égaux intellectuellement et sentimentalement, et un concombre peut tout-à-fait se faire élire aux prochaines élections ! Un ensemble de tableaux à savourer d'un œil malicieux. La phrase qui tue : " Maman à quoi ça sert la nature ? - A rien mon chéri, tout comme toi."
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    Faustine BRUNET | 2016.
    Une petite fille s'interroge sur le phénomène de disparition des poissons et observe le monde à sa hauteur, en essayant de comprendre et de trouver des solutions à sa mesure. Conte poétique et écologique, qui évoque, de manière subtile, une question écologique qui concerne l'appauvrissement des ressources marines et la surpêche. Cet ouvrage tend à sensibiliser les enfants sur une réalité qui touche notre environnement et notre quotidien, tout en les invitant dans un univers onirique et coloré.
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    GRAND LYON - COMMUNAUTÉ URBAINE | 2014.
    Ce guide pédagogique a pour objectif d'aider enseignants et animateurs à entreprendre un projet éducatif et écocitoyen sur le thème de la propreté urbaine et des déchets.
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    CNIID | 2012.
    <p align="justify">Pourquoi ne parle-t-on plus de « décharge » mais de « centre d’enfouissement technique », d’« incinérateur » mais de « centre de valorisation énergétique » ? Comment est-on arrivé à affubler le mot emballage du préfixe éco- ou le mot plastique du préfixe bio- ? Que cache la complexité de ces termes ? La gestion de nos déchets serait-elle en un tour de main devenue écologique, respectueuse de la planète et de ses habitants ? En réalité, le petit monde des déchets et ses communicants souffrent d’une maladie de plus en plus répandue : le greenwashing. Le Cniid vous propose de faire la lumière, en 30 définitions illustrées par Martin Vidberg, sur les "gros mots" des déchets les plus détournés et galvaudés par les industriels et les pouvoirs publics, afin de vous révéler non seulement leur sens réel, mais également vous faire connaître les enjeux souvent cachés et parfois peu avouables qui s’y rapportent.</p>
  • Texte imprimé
    J. SALTET | 2011.
    La 18ème Journée mondiale de l'eau a eu lieu le 22 mars 2011. À cette occasion, cette édition spéciale réalisée avec les agences de l'eau et l'ONEMA propose de découvrir les rivières, leur utilité et actions essentielles visant à les préserver.