Notices

Etagère(s) sélectionnée(s) :Climat, Métiers, formation et professionnalisation, Littérature et ouvrages jeunesse
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  • Revue/Périodique
    [No author mentioned] | Novembre 2015.
    <p align="justify"> <strong>Édito</strong> <strong>Préface</strong> <strong>Regards croisés : une remise en contexte</strong> - Le défi d'adaptation - Climat et pollution atmosphérique - Le changement climatique et les enjeux aquitains <strong>Coeur de métier : le changement climatique vu par les praticiens</strong> - Le changement climatique à l'échelle humaine : vers des temps chaotiques ? - L'impact du changement climatique sur les oiseaux ? - Changement climatique, les élèves aquitains agissent ! - Les Petits Débrouillards : en quête de transitions - Pour une contribution régionale au débat - La COP 21 en Poitou-Charentes <strong>Escapade</strong> - À la découverte d'Ecocène <strong>Carte blanche à Jean-Pierre Dupuy</strong> - Pour réduire le risque climatique, il faut s'attaquer aux inégalités mondiales - L'écologie et l'avenir de l'humanité <strong>Sur l'Autre rive : expériences d'ailleurs</strong> - Développement agricole et changement climatique : le cas d'Haïti - L'ambition de changer le monde - Une enquête de coincoins disparus au Groenland <strong>La librairie</strong> <strong>Sources et Ressources</strong>
  • Texte imprimé
    [No author mentioned] | Novembre 2009.
    Les actions climatiques au banc d'essai - Les mesures climatiques ne sont pas toutes efficaces - ni inoffensives 300 mesures climatiques évaluées Un changement de paradigme s'impose - Une vision énergétique pour les Alpes Le fossoyeur de la politique climatique - Les mesures concernant les transports sont décisives L'androsace des Alpes est menacée - La nature, un formidable tampon climatique Qui sont les visages derrière les projets? - Panorama "Ce qui n'est encore jamais arrivé, on ne le croit pas" - Entretien avec Martine Rebetez De bons projets, mais pas de stratégie - Luca Mercalli nous parle de la politique climatique en Italie Un autre tourisme est possible - Les Gets/F projet village 2003-2013 Laissez entrer le soleil! - École de l'énergie de Haute-Bavière Le pays où l'on dépose volontiers sa clé de voiture - L'Almenland neutre en CO2, et sans voitures Protection du climat et bilan carbone - Davos en route vers Kyoto La société à 2000 watts Point d'orgue - L'avenir des Alpes passe par la neutralité climatique
  • Document imprimé
    Alessandro PIGNOCCHI | 2020.
    Grâce à une troupe de mésanges punks (qui ont renversé les États), la pensée animiste s’installe progressivement sur l’ensemble de la planète : les plantes et les animaux sont désormais considérés comme des personnes et les chefs n’ont plus de pouvoir. Le cœur brisé de voir la culture occidentale s’éteindre, un anthropologue jivaro tente vaillamment de sauvegarder les enclaves où se sont réfugiés nos ex-dirigeants politiques. Le monde inversé qui se dessine ainsi nous aide à envisager l’avenir avec optimisme et enthousiasme.
  • Document imprimé
    Valérie Masson-Delmotte | 2020.
    Nos Futurs est une anthologie de textes destinés à sensibiliser, à informer et à produire des récits autour des enjeux du changement climatique. Cette anthologie est composée de 10 textes de science, 10 textes de fiction : 20 regards issus de la rencontre entre scientifiques et créateurs d'imaginaire. Ce livre part d’un double constat. D’une part, la transition écologique au sens large, et les changements radicaux qui l‘accompagnent, intéressent et préoccupent un public de plus en plus large, qui cherche des moyens de se saisir du sujet. D’autre part, alors que l’homme est un animal d’histoires, nous manquons de récits pour nous approprier ces futurs, souhaités ou subis.
  • Document imprimé
    Alessandro PIGNOCCHI | 2018.
    "Des mésanges punks qui se mêlent de politique, des hommes politiques plus animistes que des Indiens d'Amazonie, un anthropologue jivaro qui tente de sauver ce qui reste de la culture occidentale. Voici quelques habitants de ce monde nouveau où le concept de nature a disparu, où les plantes et les animaux sont considérés comme des partenaires sociaux ordinaires et où le pouvoir n'exerce plus aucun attrait. Après la lecture de ce livre, vous ne regarderez plus jamais les mésanges et les hommes politiques de la même façon".
  • Document imprimé
    Alessandro PIGNOCCHI | 2017.
    Dans cette bande dessinée pleine d'humour, Alessandro Pignocchi met en scène un anthropologue jivaro qui étudie et protège la culture occidentale traditionnelle, dont ne subsistent que quelques exemples en France. Car dans ce monde inversé, animaux (dont humains) et plantes sont considérés comme étant égaux intellectuellement et sentimentalement, et un concombre peut tout-à-fait se faire élire aux prochaines élections ! Un ensemble de tableaux à savourer d'un œil malicieux. La phrase qui tue : " Maman à quoi ça sert la nature ? - A rien mon chéri, tout comme toi."
  • Document imprimé
    Faustine BRUNET | 2016.
    Une petite fille s'interroge sur le phénomène de disparition des poissons et observe le monde à sa hauteur, en essayant de comprendre et de trouver des solutions à sa mesure. Conte poétique et écologique, qui évoque, de manière subtile, une question écologique qui concerne l'appauvrissement des ressources marines et la surpêche. Cet ouvrage tend à sensibiliser les enfants sur une réalité qui touche notre environnement et notre quotidien, tout en les invitant dans un univers onirique et coloré.
  • Document imprimé
    LATOUR Bruno | 2015.
    James Lovelock n’a pas eu de chance avec l’hypothèse Gaïa. En nommant par ce vieux mythe grec le système fragile et complexe par lequel les phénomènes vivants modifient la Terre, on a cru qu’il parlait d’un organisme unique, d’un thermostat géant, voire d’une Providence divine. Rien n’était plus éloigné de sa tentative. Gaïa n’est pas le Globe, n’est pas la Terre-Mère, n’est pas une déesse païenne, mais elle n’est pas non plus la Nature, telle qu’on l’imagine depuis le XVIIe siècle, cette Nature qui sert de pendant à la subjectivité humaine. La Nature constituait l’arrière-plan de nos actions. Or, à cause des effets imprévus de l’histoire humaine, ce que nous regroupions sous le nom de Nature quitte l’arrière-plan et monte sur scène. L’air, les océans, les glaciers, le climat, les sols, tout ce que nous avons rendu instable, interagit avec nous. Nous sommes entrés dans la géohistoire. C’est l’époque de l’Anthropocène. Avec le risque d’une guerre de tous contre tous. L’ancienne Nature disparaît et laisse la place à un être dont il est difficile de prévoir les manifestations. Cet être, loin d’être stable et rassurant, semble constitué d’un ensemble de boucles de rétroactions en perpétuel bouleversement. Gaïa est le nom qui lui convient le mieux. En explorant les mille figures de Gaïa, on peut déplier tout ce que la notion de Nature avait confondu : une éthique, une politique, une étrange conception des sciences et, surtout, une économie et même une théologie.
  • Texte imprimé
    [No author mentioned] | 2009.
    Initié par les partenaires du Projet nature, un parcours de découverte ponctué de silhouettes depuis le Grand Moulin jusqu'à la platte du Martoret, permet de découvrir les différentes utilisations de la rivière. A chacun des usages est associé un personnage au comportement inadéquat à l'égard de l'Yzeron. Ainsi, la blanchisseuse, l'agriculteur et le meunier perturbent tour à tour, le fonctionnement du cours d'eau. C'est alors la catastrophe pour le pêcheur... Cette approche a permis à quatre classes de primaire, de réfléchir sur les bons comportements à observer vis-à-vis de la rivière, pour qu'elle continue à dispenser ses bienfaits. Accompagnés dans leur réflexion par des associations locales et les enseignants, les élèvent de deux groupes scolaires de Craponne et Francheville on écrit le conte "à l'eau les poissons". Il permet d'interroger le visiteur sur son propre comportement vis-à-vis de la rivière, et crée des passerelles entre hier et aujourd'hui. "À l'eau les poissons" favorise ainsi l'appropriation de l'Yzeron par les enfants, mais aussi les promeneurs qui pourront découvrir ces personnages au fil de l'eau.
  • Texte imprimé
    Gérard BERTOLINI | 2007.
    Quel que soit le produit que l’on consomme, il a un impact sur l’environnement. Pratiques d’autrefois, innovation du préfet Poubelle, organisation de la collecte, recyclage, empreinte écologique, combien ça coûte, sont autant de sujets traités dans ce documentaire. Un Quiz, un lexique et des liens Internet permettent d’approfondir le sujet.