Notices

Etagère(s) sélectionnée(s) :Climat, Consommation et production
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  • Texte imprimé
    [No author mentioned] | Hiver 2010.
    Dossier : déchets et consommation, un tandem vers l'écoresponsabilité Poster : initiatives à la pelle
  • Outils pédagogiques
    SMIRIL, Syndicat Mixte du Rhône, des îles et des lônes (Grigny; France, Grigny, France) | 2021.
    Les professionnels de l’éducation à l’environnement font le constat que si le changement climatique est bien un thème au cœur des préoccupations actuelles des citoyens, il n’est pas facile à aborder. Phénomène global et encore abstrait, il est difficilement perceptible dans la vallée du Rhône fortement anthropisée où les enjeux sont complexes et les facteurs entremêlés. En se dotant d’outils fonctionnels et partagés, il s’agit aujourd’hui d’ancrer cette thématique dans les programmes de sensibilisation au fleuve à destination des publics scolaires et auprès du grand public. « Parlons climat au bord du Rhône » a été conçu pour être utilisé de deux manières différentes : - Embarquer le public dans un parcours cohérent, logique, progressif, pour passer du global au local, du constat à l’action, via 3 modules opérationnels, presque « clef en main », avec une attention particulière sur les émotions. Un carnet de bord permet de faire le point à la fin de chaque module. - « Piocher » dans une boîte à outils pédagogiques pour aborder la question du changement climatique selon ses propres envies, en s’inspirant des propositions d’activités ou en enrichissant ses connaissances locales. - Publics cibles : Ces outils sont diffusés auprès de l’ensemble des acteurs de la communauté éducative qui mènent des projets d’éducation à l’environnement autour du fleuve Rhône : enseignants, médiateurs, éducateurs à l’environnement. - Publics indirects : scolaires des cycles 3 et 4, grand public.
  • Document imprimé
    Luc SEMAL | 2019.
    Depuis les premières alertes des années 1970 jusqu’aux débats contemporains sur l’Anthropocène, Luc Semal retrace l’émergence et l’évolution des mobilisations aux prises avec les limites à la croissance et la perspective d’un effondrement global. Leur catastrophisme est envisagé non pas comme une fascination paralysante pour le désastre, mais comme une pensée politique propice à la délibération et à l’action. Des mouvements comme ceux de la décroissance et des Transition Towns réinventent des projets écologistes entre sobriété heureuse et désastres annoncés. Par leurs luttes et leurs expérimentations locales, ces mobilisations à l’ombre des catastrophes esquissent les contours d’une démocratie post-pétrole et post-croissance.
  • Document numérique
    Joséphine SOULIER | 2018.
    Joséphine Soulier a effectué un stage à la DRAAF Auvergne-Rhône-Alpes, accompagnée par le GRAINE Auvergne-Rhône-Alpes. Alors étudiante en Master 2 Sciences Sociales Appliquées à l’Alimentation à l’ISTHIA Toulouse, elle a rédigé ce mémoire : "Les politiques publiques ont déployé de nombreux moyens pour sensibiliser les jeunes au lien alimentation-santé sans toutefois des résultats probants. Se pose alors la question : comment mieux toucher les jeunes? L’objectif poursuivi dans cette étude est l’accompagnement au changement des pratiques alimentaires des jeunes. Une approche transversale de l’alimentation, un décloisonnement au niveau des services et des méthodes de travail basées sur la coopération, l’échange et la collaboration semblent être de bons éléments de réflexion pour penser autrement la sensibilisation des jeunes à l’alimentation durable. L’accompagnement au changement, la socialisation alimentaires des jeunes, la coopération entre acteurs ou encore la communication en matière de sensibilisation ainsi que la méthodologie de recherche déployée et l’analyse des données recueillies (entretiens, colloque régional ou projet de recherche-action) sont tout autant de points qui seront abordés dans ce mémoire."
  • Document imprimé
    Pablo SERVIGNE | 2018.
    La situation critique dans laquelle se trouve la planète n'est plus à démontrer. Des effondrements sont déjà en cours tandis que d’autres s’amorcent, faisant grandir la possibilité d’un emballement global qui signifierait la fin du monde tel que nous le connaissons. Le choix de notre génération est cornélien : soit nous attendons de subir de plein fouet la violence des cataclysmes à venir, soit, pour en éviter certains, nous prenons un virage si serré qu’il déclencherait notre propre fin-du-monde-industriel. L’horizon se trouve désormais au-delà : imaginer la suite, tout en se préparant à vivre des années de désorganisation et d’incertitude. En toute honnêteté, qui est prêt à cela ? Est-il possible de se remettre d’un déluge de mauvaises nouvelles ? Peut-on simplement se contenter de vouloir survivre ? Comment se projeter au-delà, voir plus grand, et trouver des manières de vivre ces effondrements ?
  • Document imprimé
    Pablo SERVIGNE | 2015.
    "Et si notre civilisation s'effondrait ? Non pas dans plusieurs siècles, mais de notre vivant. Loin des prédictions Maya et autres eschatologies millénaristes, un nombre croissant d’auteurs, de scientifques et d’institutions annoncent la fin de la civilisation industrielle telle qu'elle s'est constituée depuis plus de deux siècles. Que faut-il penser de ces sombres prédictions ? Pourquoi est-il devenu si dificile d’éviter un tel scénario ? Les auteurs décortiquent les ressorts d’un possible effondrement et proposent un tour d’horizon interdisciplinaire de ce sujet, qu’ils nomment la "collapsologie". En mettant des mots sur des intuitions partagées par beaucoup d’entre nous, ce livre redonne de l’intelligibilité aux phénomènes de "crises" que nous vivons, et surtout, redonne du sens à notre époque. Car aujourd’hui, l’utopie a changé de camp : est utopiste celui qui croit que tout peut continuer comme avant. L’effondrement est l’horizon de notre génération, c’est le début de son avenir. Qu’y aura-t-il après ? Tout cela reste à penser, à imaginer, et à vivre…"