Notices

Etagère(s) sélectionnée(s) :Concertation et dialogue territorial, Climat, Métiers, formation et professionnalisation
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  • Texte imprimé
    [No author mentioned] | Mai-juin-juillet-août 2009.
    - Réflexions sur : comment mieux connaître le "grand public" - Mise en oeuvre de la DCE : se conformer à la mise en place de la gouvernance - Formation à la demande : "comment favoriser l'accueil d'un groupe scolaire sur mon exploitation agricole?" - Stage au programme : "alimen'terre" - Fiche thématique : le jeu en éducation à l'environnement - Les échos du congrès Ecole et Nature : "éducation à l'environnement et politiques, quelles places pour les associations?" - Equipements pédagogiques : sentiers ludo-nature - On en parle : dossier biodiversité
  • Texte imprimé
    [No author mentioned] | Été 2010.
    Sommaire : - Les derniers outils de communication - ECOREM : Espace collaboratif de ressources pour l'éducation à l'environnement en milieu littoral et marin méditerranéen - Dossier : EEDD et handicap - Les priorités de la rentrée 2010 de la plate-forme régionale de concertation - Zoom sur...l'institut régional de formation à l'environnement et au développement durable (IRFEDD)
  • Document imprimé
    Clémence SEURAT | 2021.
    Face aux problèmes environnementaux et sanitaires qui nous submergent, face à la cadence inédite des innovations technologiques, les expert·e·s s'affrontent, se contredisent ou s’avouent sans réponse. Les controverses surgissent à un rythme bien plus rapide que la production des savoirs. Dans cet âge d’incertitude, où la décision doit souvent précéder la connaissance, il nous faut imaginer de nouvelles manières de penser et d’agir collectivement. La cartographie des controverses fournit ce cadre. Pratique pédagogique pionnière en sciences sociales, elle apprend à regarder le monde sans jamais séparer sciences, techniques et société. À tenir compte de tous les points de vue et du contexte dans lequel ils sont émis. À analyser finement l’écosystème qui fait naître un objet, une invention, un phénomène. Pour se repérer dans l’incertitude, nous dit-elle, il faut d’abord se perdre dans la complexité. Ce livre en offre le mode d’emploi, en s’appuyant sur des exemples de controverses contemporaines soigneusement sélectionnées pour leur diversité et la richesse de leurs enseignements.
  • Outils pédagogiques
    SMIRIL, Syndicat Mixte du Rhône, des îles et des lônes (Grigny; France, Grigny, France) | 2021.
    Les professionnels de l’éducation à l’environnement font le constat que si le changement climatique est bien un thème au cœur des préoccupations actuelles des citoyens, il n’est pas facile à aborder. Phénomène global et encore abstrait, il est difficilement perceptible dans la vallée du Rhône fortement anthropisée où les enjeux sont complexes et les facteurs entremêlés. En se dotant d’outils fonctionnels et partagés, il s’agit aujourd’hui d’ancrer cette thématique dans les programmes de sensibilisation au fleuve à destination des publics scolaires et auprès du grand public. « Parlons climat au bord du Rhône » a été conçu pour être utilisé de deux manières différentes : - Embarquer le public dans un parcours cohérent, logique, progressif, pour passer du global au local, du constat à l’action, via 3 modules opérationnels, presque « clef en main », avec une attention particulière sur les émotions. Un carnet de bord permet de faire le point à la fin de chaque module. - « Piocher » dans une boîte à outils pédagogiques pour aborder la question du changement climatique selon ses propres envies, en s’inspirant des propositions d’activités ou en enrichissant ses connaissances locales. - Publics cibles : Ces outils sont diffusés auprès de l’ensemble des acteurs de la communauté éducative qui mènent des projets d’éducation à l’environnement autour du fleuve Rhône : enseignants, médiateurs, éducateurs à l’environnement. - Publics indirects : scolaires des cycles 3 et 4, grand public.
  • Document imprimé
    Valérie Masson-Delmotte | 2020.
    Nos Futurs est une anthologie de textes destinés à sensibiliser, à informer et à produire des récits autour des enjeux du changement climatique. Cette anthologie est composée de 10 textes de science, 10 textes de fiction : 20 regards issus de la rencontre entre scientifiques et créateurs d'imaginaire. Ce livre part d’un double constat. D’une part, la transition écologique au sens large, et les changements radicaux qui l‘accompagnent, intéressent et préoccupent un public de plus en plus large, qui cherche des moyens de se saisir du sujet. D’autre part, alors que l’homme est un animal d’histoires, nous manquons de récits pour nous approprier ces futurs, souhaités ou subis.
  • Document imprimé
    Adeline de Lépinay | 2019.
    Adeline de Lépinay questionne les pratiques et les stratégies militantes pour à la fois obtenir aujourd’hui des améliorations concrètes, et construire la possibilité d’une transformation sociale radicale. Nous auto-organiser, mettre en œuvre et préfigurer dès aujourd’hui autant que possible une culture et des fonctionnements collectifs non-oppressifs, démocratiques et émancipateurs, tout en agissant stratégiquement et aussi « efficacement » que possible face aux urgences sociales et écologiques, sans se laisser gouverner par les habitudes y compris militantes, ni coloniser par la logique capitaliste et néolibérale : lutter pour une société libre, égalitaire, solidaire et écologique nécessite de faire avec des contradictions indépassables, et d’être à la fois humbles et exigeant·es. Dans un aller-retour permanent entre pistes concrètes et réflexions critiques, « Organisons-nous ! Manuel critique » est l’occasion pour toutes celles et ceux qui agissent, quelle que soit leur action, de prendre du recul sur leurs pratiques et une grande bouffée d’énergie et d’ambition pour construire ensemble la transformation sociale.
  • Document imprimé
    Isabelle JEANNIN | 2017.
    Isabelle Jeannin, alors étudiante en Master 2 de Philosophie « Éthique, Écologie et Développement Durable » à Lyon 3, a réalisé un stage à l’URCPIE dans le cadre du dispositif de la Boutique des Sciences. Ce stage a donné lieu à à cette synthèse ainsi qu'à un mémoire intitulé «L’accompagnement aux changements a-t-il une place dans l’évolution des métiers de l’EEDD ?», également référencé sur ce site et accessible en version PDF.
  • Document numérique
    Isabelle JEANNIN | 2017.
    "Un métier qui évolue, des enjeux qui se diversifient et toujours cette opposition entre le besoin d’agir vite et l’éducation qui nécessite du temps. De quels moyens le professionnel de l’éducation à l’environnement et au développement durable (EEDD) peut-il s’emparer pour permettre à chacun de s’éveiller au monde et de se sentir relié et responsable ? C’est sans doute dans ses postures qu’il peut trouver une réponse. Tantôt expert, tantôt animateur, il a su sensibiliser, intéresser ses publics mais aujourd’hui cela ne suffit plus. Les hommes ont besoin d’être accompagnés pour changer. Une nouvelle posture est donc indispensable, celle de l’accompagnant. Accompagner le changement c’est permettre à l’autre de se mettre sur le chemin de sa conscience, d’interroger ses valeurs et de donner du sens à ce changement pour qu’il soit durable. Permettre à chacun de participer aux décisions pour réussir durablement le vivre ensemble sur terre. Reste à définir le meilleur moyen pour y parvenir tout en continuant à enrichir cette dynamique dans le réseau." Isabelle Jeannin, alors étudiante en Master 2 de Philosophie « Ethique, Ecologie et Développement Durable » à Lyon 3, a réalisé un stage à l’URCPIE dans le cadre du dispositif de la Boutique des Sciences qui a donné lieu à ce mémoire.
  • Document imprimé
    GRAINE Rhône-Alpes | 2016.
    Ce document a pour objectif de présenter la diversité de l’organisation des acteurs de l’EEDD en Rhône-Alpes et sa pertinence, particulièrement dans un contexte institutionnel, environnemental et sociétal en pleine évolution. Il a été rédigé par le GRAINE Rhône-Alpes avec la participation des réseaux d’EEDD territoriaux en Rhône-Alpes. Edité en 2016 alors que le GRAINE Auvergne-Rhône-Alpes était encore le GRAINE Rhône-Alpes, le panorama se concentrait sur la région Rhône-Alpes uniquement.
  • Document imprimé
    LATOUR Bruno | 2015.
    James Lovelock n’a pas eu de chance avec l’hypothèse Gaïa. En nommant par ce vieux mythe grec le système fragile et complexe par lequel les phénomènes vivants modifient la Terre, on a cru qu’il parlait d’un organisme unique, d’un thermostat géant, voire d’une Providence divine. Rien n’était plus éloigné de sa tentative. Gaïa n’est pas le Globe, n’est pas la Terre-Mère, n’est pas une déesse païenne, mais elle n’est pas non plus la Nature, telle qu’on l’imagine depuis le XVIIe siècle, cette Nature qui sert de pendant à la subjectivité humaine. La Nature constituait l’arrière-plan de nos actions. Or, à cause des effets imprévus de l’histoire humaine, ce que nous regroupions sous le nom de Nature quitte l’arrière-plan et monte sur scène. L’air, les océans, les glaciers, le climat, les sols, tout ce que nous avons rendu instable, interagit avec nous. Nous sommes entrés dans la géohistoire. C’est l’époque de l’Anthropocène. Avec le risque d’une guerre de tous contre tous. L’ancienne Nature disparaît et laisse la place à un être dont il est difficile de prévoir les manifestations. Cet être, loin d’être stable et rassurant, semble constitué d’un ensemble de boucles de rétroactions en perpétuel bouleversement. Gaïa est le nom qui lui convient le mieux. En explorant les mille figures de Gaïa, on peut déplier tout ce que la notion de Nature avait confondu : une éthique, une politique, une étrange conception des sciences et, surtout, une économie et même une théologie.