Notices

Etagère(s) sélectionnée(s) :Biodiversité, Consommation et production, EEDD : enjeux, pédagogies et méthodes, Métiers, formation et professionnalisation
Page 1 sur 3 (27 résultats)
  • Texte imprimé
    [No author mentioned] | septembre 2009.
    Partager : - L'AZN reverdit le Sahel - Moringa : l'arbre aux mille vertus Nourrir : - Une ferme, quatre agriculteurs Se nourrir: - Achetons groupés Prévenir et guérir : - Suspects plastiques Se détendre : - L'art par la nature Réfléchir : - De Gaulle et la participation Dossier: - Spécial SCOP Gérer: - Un emballage peut en cacher un autre! Travailler autrement: - L'Avise, à la pointe de l'innovation sociale
  • Texte imprimé
    [No author mentioned] | Novembre 2008.
    L'EE en marche Le sens de l'action Dossier cohérence - Regards croisés - Ils l'ont fait, c'est possible - Focus - Pour aller plus loin
  • Texte imprimé
    [No author mentioned] | Mars 2012.
    Histoire du REEB • La naissance d’un réseau, Interview croisée : Henri Labbe, conseiller technique et pédagogique à la DRJSCS de 1972 à 2011, Yves Monnier, directeur de l’IRPA et François-Gaël Rios, ex-responsable de formation BEATEP à l’UBAPAR Un projet de société • Le respect de la nature est respect de soi • La prolifération des actions vertes du REEB ! • Le littoral, un milieu en partage • Un projet de société ou une société de projets ? Le REEB en action • 20 ans pour le REEB, 10 ans pour Polypode • Des commissions pour innover et se mettre en action ! • L’aventure Planet’ErE • Un plan régional d’action pour l’éducation à l’environnement • Il n’est jamais trop tard pour poser ses valeurs • Les rencontres régionales du réseau chargée de mission La dynamique de réseau associatif • Une énergie qui n’est pas reliée est une énergie inutile • Le REEB : démocratie et vie associative Éduquer à l’environnement : des métiers • Regards sur l’évolution de l’éducation à l’environnement en Bretagne • L’accueil à la ferme, Frédérique Omnès • Quand Écolo’gestes montre que l’EE n’est pas qu’une affaire de spécialistes, Paskall Le Doeuff Partenariat • Être et avoir des partenaires Petite pause… • De l’infiniment petit vers l’immensité Les débats qui nous agitent aujourd’hui • La place des outils pédagogiques en EEDD • Quand les enseignants s’éloignent des instances décisionnaires du REEB • La place de l’éducation à l’environnement dans l’EDD • Militer et mettre l’homme au coeur de l’éducation à l’environnement : deux éco-interprètes témoignent, Daniel Kempa et Corinne Gense, éco-interprètes indépendants, administrateurs du REEB • Quel être humain voulons-nous aider à se développer ? Interview de Laetitia Labeyrie, animatrice, responsable du programme d’animation auprès du grand public, École Nicolas Hulot, Parc de Branféré Paradoxes • Associations et collectivités : « penser le changement » Ressources Perspectives • Le clin d’oeil d’un pionnier, François Lapoix • Quelles perspectives pour le REEB ?
  • Texte imprimé
    [No author mentioned] | Mai-juin-juillet-août 2005.
    Réseaux d'échanges réciproques des savoirs - Enseigner pour apprendre Planèt'ere 3 - 3èmes Forum International Francophone pour l'Éducation à l'environnement Formation Ifrée - Observer, lire et se représenter les paysages Du côté des entreprises - Forum des éco-industries Réseau des formateurs en EE - Rencontre 2005 des formateurs en éducation à l'environnement et développement durable Éduquer à l'environnement, une ambition à partager C'est parti pour 2005 - Quatrième édition du Forum de l'environnement Jeunes européens - Cycle d'échange Rencontres - 9èmes Rencontres de la démocratie locale Fiche thématique - La géologie en éducation à l'environnement
  • Document numérique
    Francine PELLAUD | 2021.
    Si le développement durable a réussi l’exploit de s’immiscer jusqu’au sein de l’économie et que son éducation a investi la plupart des programmes scolaires, force est de constater que, près de 30 ans plus tard, extinctions massives, pollutions, disparités sociales, catastrophes écologiques et surexploitations sont notre pain quotidien. Ce résultat, contre-productif et alarmant, n’est-il pas à attribuer à un concept qui a endormi les consciences plutôt que de les réveiller ? Dès lors quelles sont les questions fondamentales qui doivent guider notre réflexion en tant que penseurs de l’éducation ? Quelle est notre place face à une urgence qui ne peut plus se satisfaire de beaux discours ?
  • Document imprimé
    Anne-Louise NESME | 2020.
    Enfance et nature se conjuguent trop peu souvent ensemble. Nos modes de vie et nos représentations ont peu à peu contribué à cette dissociation. Sans l'avoir choisie, sans même parfois en avoir vraiment conscience, nous autres - parents ou professionnels - cautionnons et favorisons une forme de « production d'enfants hors-sol ». Ce faisant, nous les privons d'un espace de ressources, de plaisir et d'apprentissage. En outre, leur développement et leur bien-être peuvent en être impactés. À plus long terme, se pose la question de savoir comment ces citoyens en devenir pourront protéger demain une nature qui leur est étrangère lorsqu'elle ne leur est pas présentée comme dangereuse. La situation écologique impose pourtant que cette rencontre puisse exister. Sans en faire une nouvelle injonction, ni renoncer à considérer la nécessité de changements plus collectifs, il est possible d'étayer notre positionnement en tant qu'adultes, dans la perspective de faire exister un peu plus la nature pour tous.
  • Document imprimé
    Alexandre BOISSON | 2019.
    Selon les auteurs, les motifs d’un effondrement augmentent rapidement ; ils en développent les causes nombreuses. Crises géopolitiques, financières, économiques, sociales, écologiques et désorganisation des réseaux de distribution : d’où viendront les premiers symptômes ? Or, en cas de problème, vers qui vont se tourner les citoyens ? Vers leur maire ! C’est pourquoi il est prudent de se préparer à l’autonomie et à la résilience. Face à l’effondrement, si j’étais maire ? est une alerte à l’intention des élus – en particulier les maires et les conseillers des communes rurales – ainsi que des citoyens : comment organiser l’autonomie des services vitaux des communes et, sans rien attendre de l’État, les rendre les plus résilientes possible ? Les auteurs développent au fil des pages des pistes d’une autonomie locale, entre autre, l’approvisionnement en eau, en nourriture, en énergie, les services de santé, avec des annexes très concrètes.
  • Document imprimé
    Luc SEMAL | 2019.
    Depuis les premières alertes des années 1970 jusqu’aux débats contemporains sur l’Anthropocène, Luc Semal retrace l’émergence et l’évolution des mobilisations aux prises avec les limites à la croissance et la perspective d’un effondrement global. Leur catastrophisme est envisagé non pas comme une fascination paralysante pour le désastre, mais comme une pensée politique propice à la délibération et à l’action. Des mouvements comme ceux de la décroissance et des Transition Towns réinventent des projets écologistes entre sobriété heureuse et désastres annoncés. Par leurs luttes et leurs expérimentations locales, ces mobilisations à l’ombre des catastrophes esquissent les contours d’une démocratie post-pétrole et post-croissance.
  • Document imprimé
    Fabrice NICOLINO | 2018.
    Ce livre est un manifeste. Les pesticides sont des poisons qui détruisent tout ce qui est vivant. Ils sont dans l’eau de pluie, dans la rosée du matin, dans le nectar des fleurs et l’estomac des abeilles, dans le cordon ombilical des nouveau-nés, dans le nid des oiseaux, dans le lait des mères, dans les pommes et les cerises. Les pesticides sont une tragédie pour la santé. Ils provoquent des cancers, des maladies de Parkinson, des troubles moteurs ou cérébraux chez les enfants, des infertilités, des malformations à la naissance. L’exposition aux pesticides est sous-estimée par un système devenu fou, qui préfère la fuite en avant. Quand un pesticide est interdit, dix autres prennent sa place. Il y en a des milliers. Nous ne reconnaissons plus notre pays. La nature y est défigurée. Le tiers des oiseaux ont disparu en quinze ans ; la moitié des papillons en vingt ans ; les abeilles et les pollinisateurs meurent par milliards ; les grenouilles et les sauterelles semblent comme évanouies ; les fleurs sauvages deviennent rares. Rendez-nous nos coquelicots et nos bleuets ! Rendez-nous la beauté du monde ! Non, nous ne voulons plus. À aucun prix. Nous exigeons protection. Nous exigeons de nos gouvernants l’interdiction de tous les pesticides en France. Pas demain. Maintenant. Assez de discours, des actes.
  • Document imprimé
    Pablo SERVIGNE | 2018.
    La situation critique dans laquelle se trouve la planète n'est plus à démontrer. Des effondrements sont déjà en cours tandis que d’autres s’amorcent, faisant grandir la possibilité d’un emballement global qui signifierait la fin du monde tel que nous le connaissons. Le choix de notre génération est cornélien : soit nous attendons de subir de plein fouet la violence des cataclysmes à venir, soit, pour en éviter certains, nous prenons un virage si serré qu’il déclencherait notre propre fin-du-monde-industriel. L’horizon se trouve désormais au-delà : imaginer la suite, tout en se préparant à vivre des années de désorganisation et d’incertitude. En toute honnêteté, qui est prêt à cela ? Est-il possible de se remettre d’un déluge de mauvaises nouvelles ? Peut-on simplement se contenter de vouloir survivre ? Comment se projeter au-delà, voir plus grand, et trouver des manières de vivre ces effondrements ?