Notices

Etagère(s) sélectionnée(s) :Aménagement, transports et urbanisme, Climat
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    [No author mentioned] | Avril 2009.
    - Faciliter la participation du citoyen à la gestion de l'eau - 9ème programme d'intervention (2007-2012) : communiquer, informer, éduquer pour la protection de l'eau et des milieux aquatiques RHÔNE-ALPES : - L'Écopôle du Forez : un site vitrine pour éduquer autrement AUVERGNE : - "Les Défis Écol'eau" : une action innovante du Conseil général de la Haute-Loire - "Eauvergne Eaumonde" : Découvrir, respecter, partager et aimer l'eau de la planète - Le syndicat mixte de la vallée de la Veyre (63) : dialogue avec les acteurs de l'eau - CPIE Clermont-Dômes : des actions de communication accompagnent les contrats de restauration et d'entretien RÉGION CENTRE : - Susciter l'engagement des élèves et des adultes : "Eau Défi", Graine Centre, l'association pour la protection du site du Loiret - "Objectif zéro pesticide" : sensibiliser et communiquer PAYS DE LA LOIRE : - Rêver et dialoguer au pays des Mauges (49), un film pour partager les enjeux de l'eau - Élèves et enseignants au rythme de l'Agenda 21 au lycée agricole jean-Rieffel (44) - Des actions pédagogiques dans le cadre des Sage de l'Huisne et de la Sarthe amont POITOU-CHARENTE : - "Gérer la ressource en eau ici et ailleurs", un dispositif pour soutenir des projets éducatifs BRETAGNE : - Réduire le recours aux pesticides, un programme tout public - Conjuguer action militante et pédagogie - Communiquer pour limiter l'utilisation des désherbants - Les actions d'économie d'eau dans les collectivités et l'industrie
  • Document imprimé
    Valérie Masson-Delmotte | 2020.
    Nos Futurs est une anthologie de textes destinés à sensibiliser, à informer et à produire des récits autour des enjeux du changement climatique. Cette anthologie est composée de 10 textes de science, 10 textes de fiction : 20 regards issus de la rencontre entre scientifiques et créateurs d'imaginaire. Ce livre part d’un double constat. D’une part, la transition écologique au sens large, et les changements radicaux qui l‘accompagnent, intéressent et préoccupent un public de plus en plus large, qui cherche des moyens de se saisir du sujet. D’autre part, alors que l’homme est un animal d’histoires, nous manquons de récits pour nous approprier ces futurs, souhaités ou subis.
  • Document numérique
    Thomas BOUCHET | 2019.
    Mémoire de master 2 de Socio-anthropologie Appliquée au Développement Local (2018-2019). Extrait : "De février à juillet 2019, j’ai pu parcourir les Alpes et les territoires de la région Auvergne-Rhône-Alpes (ARA), à la rencontre d’éducateurs et d’éducatrices à l’environnement, qui réfléchissent, proposent, testent, réussissent ou échouent, se remettent en question, doutent... mais construisent pas à pas des outils de sensibilisation sur les changements climatiques. J’y suis allé pour comprendre ce qu’iels font, ce qu’iels pensent et comment iels le vivent. Pour partager avec elleux leurs espoirs, mes craintes (et inversement) face aux incertitudes climatiques et aux solutions à inventer. Pour cela, cette enquête ethnographique se reconnaît comme subjective et située. Elle atteste de fragments de vie, d’expériences passées ou présentes, de sentiers ouverts et de chemins finalement clos. Des tentatives concrètes pour informer, transmettre, réfléchir collectivement ; pour transmettre des connaissances, mais bien plus, rendre attentifs aux transformations de l’environnement."
  • Document imprimé
    LATOUR Bruno | 2015.
    James Lovelock n’a pas eu de chance avec l’hypothèse Gaïa. En nommant par ce vieux mythe grec le système fragile et complexe par lequel les phénomènes vivants modifient la Terre, on a cru qu’il parlait d’un organisme unique, d’un thermostat géant, voire d’une Providence divine. Rien n’était plus éloigné de sa tentative. Gaïa n’est pas le Globe, n’est pas la Terre-Mère, n’est pas une déesse païenne, mais elle n’est pas non plus la Nature, telle qu’on l’imagine depuis le XVIIe siècle, cette Nature qui sert de pendant à la subjectivité humaine. La Nature constituait l’arrière-plan de nos actions. Or, à cause des effets imprévus de l’histoire humaine, ce que nous regroupions sous le nom de Nature quitte l’arrière-plan et monte sur scène. L’air, les océans, les glaciers, le climat, les sols, tout ce que nous avons rendu instable, interagit avec nous. Nous sommes entrés dans la géohistoire. C’est l’époque de l’Anthropocène. Avec le risque d’une guerre de tous contre tous. L’ancienne Nature disparaît et laisse la place à un être dont il est difficile de prévoir les manifestations. Cet être, loin d’être stable et rassurant, semble constitué d’un ensemble de boucles de rétroactions en perpétuel bouleversement. Gaïa est le nom qui lui convient le mieux. En explorant les mille figures de Gaïa, on peut déplier tout ce que la notion de Nature avait confondu : une éthique, une politique, une étrange conception des sciences et, surtout, une économie et même une théologie.