Notices

Etagère(s) sélectionnée(s) :Agriculture et jardins, Société, enjeux et réflexions
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  • Revue/Périodique
    Nils PEDERSEN | Septembre 2021.
    Ce supplément à la Tribune Fonda n°251 éclaire une série de grands sujets pour lesquels les associations ont, par leur action, contribué à faire avancer la société et la démocratie, en faisant valoir de nouveaux droits, en y donnant accès ou encore en portant des solutions innovantes.
  • Revue/Périodique
    Nils PEDERSEN | Septembre 2021.
    La Tribune Fonda n°251 cherche à comprendre les racines et manifestations de notre impuissance démocratique tout en explorant les voies d’un renouvellement démocratique par l’affirmation citoyenne d’un pouvoir d’agir ensemble. Ce numéro est accompagné d'un supplément pour les 40 ans de la Fonda : « Ce que nous devons aux associations ».
  • Revue/Périodique
    [No author mentioned] | Novembre 2010.
    ESCAPADE : - Partons à la découverte de la Réserve Naturelle géologique de Saucats-la Brède et de la géologie DOSSIER SPÉCIAL BIODIVERSITÉ : - Conservation des espèces - Côté jardin - Natura 2000, espace naturel de concertation - Tourisme et biodiversité en Aquitaine CARTE BLANCHE À JACQUES WEBER, économiste, chercheur et vice-président de l'association française des Petits Débrouillards L'EEDD EN ESPAGNE CÔTÉ MÉTIER : - La science participative au service de la biodiversité - Un certain regard, le film nature comme outil d'éducation à l'environnement - Un festival pour la biodiversité - Associations-entreprises, de nouvelles formes de partenariat - Manifestations responsables
  • Document imprimé
    François GEMENNE | 2021.
    Comme dans la première édition en 2019, l’Atelier de cartographie a cherché des (re-)présentations les plus adaptées aux thématiques et aux données tout en explorant des pistes nouvelles, sans manquer de transmettre un message graphique le plus clair possible : changement climatique, érosion de la biodiversité, évolution démographique, urbanisation, pollution atmosphérique, détérioration des sols, catastrophes naturelles, accidents industriels, mais aussi crises sanitaires, pandémies, mobilisations sociales, sommets internationaux, méga feux de forets (Sibérie)…
  • Document numérique
    Francine PELLAUD | 2021.
    Si le développement durable a réussi l’exploit de s’immiscer jusqu’au sein de l’économie et que son éducation a investi la plupart des programmes scolaires, force est de constater que, près de 30 ans plus tard, extinctions massives, pollutions, disparités sociales, catastrophes écologiques et surexploitations sont notre pain quotidien. Ce résultat, contre-productif et alarmant, n’est-il pas à attribuer à un concept qui a endormi les consciences plutôt que de les réveiller ? Dès lors quelles sont les questions fondamentales qui doivent guider notre réflexion en tant que penseurs de l’éducation ? Quelle est notre place face à une urgence qui ne peut plus se satisfaire de beaux discours ?
  • Document imprimé
    Valérie Masson-Delmotte | 2020.
    Nos Futurs est une anthologie de textes destinés à sensibiliser, à informer et à produire des récits autour des enjeux du changement climatique. Cette anthologie est composée de 10 textes de science, 10 textes de fiction : 20 regards issus de la rencontre entre scientifiques et créateurs d'imaginaire. Ce livre part d’un double constat. D’une part, la transition écologique au sens large, et les changements radicaux qui l‘accompagnent, intéressent et préoccupent un public de plus en plus large, qui cherche des moyens de se saisir du sujet. D’autre part, alors que l’homme est un animal d’histoires, nous manquons de récits pour nous approprier ces futurs, souhaités ou subis.
  • Document imprimé
    Luc SEMAL | 2019.
    Depuis les premières alertes des années 1970 jusqu’aux débats contemporains sur l’Anthropocène, Luc Semal retrace l’émergence et l’évolution des mobilisations aux prises avec les limites à la croissance et la perspective d’un effondrement global. Leur catastrophisme est envisagé non pas comme une fascination paralysante pour le désastre, mais comme une pensée politique propice à la délibération et à l’action. Des mouvements comme ceux de la décroissance et des Transition Towns réinventent des projets écologistes entre sobriété heureuse et désastres annoncés. Par leurs luttes et leurs expérimentations locales, ces mobilisations à l’ombre des catastrophes esquissent les contours d’une démocratie post-pétrole et post-croissance.
  • Document imprimé
    Christian CHEVALIER | 2019.
    L’éducation populaire n’a rien perdu de son héritage fondateur : celui d’une société inclusive qui garantit à chacune et chacun l’exercice d’une citoyenneté pleine et entière dans la République. L’enjeu de cet avis est de mettre en lumière sa modernité notamment au regard des débats sur la participation citoyenne aux décisions publiques. Il propose vingt préconisations concrètes pour restaurer et valoriser ses démarches, permettre aux multiples actrices et acteurs de sortir de l’invisibilité. Elles s’articulent autour de cinq grands axes : investir dans les politiques publiques d’éducation populaire pour contribuer à réconcilier la société ; développer le lien social pour conforter la citoyenneté ; sécuriser le modèle économique ; former les différents acteurs et reconnaître leurs compétences ; favoriser l’engagement et renouveler la gouvernance.
  • Document imprimé
    Fabrice NICOLINO | 2018.
    Ce livre est un manifeste. Les pesticides sont des poisons qui détruisent tout ce qui est vivant. Ils sont dans l’eau de pluie, dans la rosée du matin, dans le nectar des fleurs et l’estomac des abeilles, dans le cordon ombilical des nouveau-nés, dans le nid des oiseaux, dans le lait des mères, dans les pommes et les cerises. Les pesticides sont une tragédie pour la santé. Ils provoquent des cancers, des maladies de Parkinson, des troubles moteurs ou cérébraux chez les enfants, des infertilités, des malformations à la naissance. L’exposition aux pesticides est sous-estimée par un système devenu fou, qui préfère la fuite en avant. Quand un pesticide est interdit, dix autres prennent sa place. Il y en a des milliers. Nous ne reconnaissons plus notre pays. La nature y est défigurée. Le tiers des oiseaux ont disparu en quinze ans ; la moitié des papillons en vingt ans ; les abeilles et les pollinisateurs meurent par milliards ; les grenouilles et les sauterelles semblent comme évanouies ; les fleurs sauvages deviennent rares. Rendez-nous nos coquelicots et nos bleuets ! Rendez-nous la beauté du monde ! Non, nous ne voulons plus. À aucun prix. Nous exigeons protection. Nous exigeons de nos gouvernants l’interdiction de tous les pesticides en France. Pas demain. Maintenant. Assez de discours, des actes.
  • Document imprimé
    Pablo SERVIGNE | 2018.
    La situation critique dans laquelle se trouve la planète n'est plus à démontrer. Des effondrements sont déjà en cours tandis que d’autres s’amorcent, faisant grandir la possibilité d’un emballement global qui signifierait la fin du monde tel que nous le connaissons. Le choix de notre génération est cornélien : soit nous attendons de subir de plein fouet la violence des cataclysmes à venir, soit, pour en éviter certains, nous prenons un virage si serré qu’il déclencherait notre propre fin-du-monde-industriel. L’horizon se trouve désormais au-delà : imaginer la suite, tout en se préparant à vivre des années de désorganisation et d’incertitude. En toute honnêteté, qui est prêt à cela ? Est-il possible de se remettre d’un déluge de mauvaises nouvelles ? Peut-on simplement se contenter de vouloir survivre ? Comment se projeter au-delà, voir plus grand, et trouver des manières de vivre ces effondrements ?