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Etagère(s) sélectionnée(s) :Accompagnement aux changements, Eduquer dehors
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- Document impriméLuc SEMAL | 2019.Depuis les premières alertes des années 1970 jusqu’aux débats contemporains sur l’Anthropocène, Luc Semal retrace l’émergence et l’évolution des mobilisations aux prises avec les limites à la croissance et la perspective d’un effondrement global. Leur catastrophisme est envisagé non pas comme une fascination paralysante pour le désastre, mais comme une pensée politique propice à la délibération et à l’action. Des mouvements comme ceux de la décroissance et des Transition Towns réinventent des projets écologistes entre sobriété heureuse et désastres annoncés. Par leurs luttes et leurs expérimentations locales, ces mobilisations à l’ombre des catastrophes esquissent les contours d’une démocratie post-pétrole et post-croissance.
- Document numériqueMission maternelle 21, Groupe départemental. Oser l’école dehors | [s.d.].La nature procure du plaisir, éveille les sens : un besoin essentiel et vital, pour les enfants comme pour les adultes. Voici le fruit d’une longue et minutieuse réflexion pour élaborer une démarche pédagogique moderne et mobilisatrice sur l’école du dehors. Faire classe dehors est avant tout une pratique pédagogique à part entière. Fruit d’un long travail de réflexion engagé dans le département, en étroite collaboration avec le CDRS 21, la mission maternelle, sous l’autorité de Madame le Directrice académique des services de l’éducation nationale de la Côte d’Or, met à votre disposition le projet départemental « Oser l’école dehors, grandir et apprendre à ciel ouvert, de la cour de récréation à la forêt. »