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Etagère(s) sélectionnée(s) :Accompagnement aux changements, Agriculture et jardins
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    Alice CALVET | 2022.
    Comment, à partir d’une recette de cuisine, peut-on débattre autour de l’agriculture et de l’alimentation, comment peut-on penser et agir pour transformer les territoires vers plus de justice sociale et environnementale ? Dans ce livre, ou plutôt outil pédagogique, le Réseau Marguerite propose de déployer sa démarche d’éducation agri-alimentaire, à travers la problématisation de 14 recettes de cuisine. Le livre traite un enjeu concret de nos systèmes alimentaires dans chaque recette, et illustre sa complexité à travers des connaissances, des extraits scientifiques, des liens vers des séances pédagogiques, des interviews d’acteurs et actrices, des pistes de débats à travailler en classe. Chaque lecteur.trice pourra s’inspirer des thématiques mises en avant et les transmettre à travers un projet pédagogique dans lequel les jeunes seront encouragé.es à prendre la parole, développer leur curiosité, aiguiser leur esprit critique et leur argumentation. Ce livre est donc un outil à diffuser aux enseignant.es, aux formateur.trices, aux étudiant.es et aux curieux.ses de l’alimentation, pour : - se poser des questions et élaborer une réflexion critique sur l’agriculture, l’alimentation et la situation planétaire actuelle ; - mettre en avant le rôle de la jeunesse et des lieux éducatifs dans les transformations des territoires ; - inspirer d’autres projets en éducation agri-alimentaire. A savoir que chacune des recettes de cuisine est originale et a été créée par des collégien.nes lors de projets Marguerite antérieurs, elles ont été proposé lors d’un concours de cuisine inter-étabissements, le Vénichefs, organisé à Venissieux en 2017 et 2018.
  • Document imprimé
    Luc SEMAL | 2019.
    Depuis les premières alertes des années 1970 jusqu’aux débats contemporains sur l’Anthropocène, Luc Semal retrace l’émergence et l’évolution des mobilisations aux prises avec les limites à la croissance et la perspective d’un effondrement global. Leur catastrophisme est envisagé non pas comme une fascination paralysante pour le désastre, mais comme une pensée politique propice à la délibération et à l’action. Des mouvements comme ceux de la décroissance et des Transition Towns réinventent des projets écologistes entre sobriété heureuse et désastres annoncés. Par leurs luttes et leurs expérimentations locales, ces mobilisations à l’ombre des catastrophes esquissent les contours d’une démocratie post-pétrole et post-croissance.