Notices

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  • Revue/Périodique
    Nils PEDERSEN | Septembre 2021.
    Ce supplément à la Tribune Fonda n°251 éclaire une série de grands sujets pour lesquels les associations ont, par leur action, contribué à faire avancer la société et la démocratie, en faisant valoir de nouveaux droits, en y donnant accès ou encore en portant des solutions innovantes.
  • Revue/Périodique
    Nils PEDERSEN | Septembre 2021.
    La Tribune Fonda n°251 cherche à comprendre les racines et manifestations de notre impuissance démocratique tout en explorant les voies d’un renouvellement démocratique par l’affirmation citoyenne d’un pouvoir d’agir ensemble. Ce numéro est accompagné d'un supplément pour les 40 ans de la Fonda : « Ce que nous devons aux associations ».
  • Texte imprimé
    GRAINE Rhône-Alpes | printemps 2009.
    développement durable, eau et biodiversité, former un coordinateur de projets et d'actions d'EEDD/ fondation d'entreprise nature vivante/ politique régionale en faveur de l'écoresponsabilité/ la nouvelle campagne pédagogique FRAPNA/ éduquer au développement durable/ quels outils/ quelles pratiques/ L'appel à projet des Ekoacteurs est lancé/ Retour sur l'assemblée générale.
  • Texte imprimé
    [No author mentioned] | Hiver 2010.
    Dossier : déchets et consommation, un tandem vers l'écoresponsabilité Poster : initiatives à la pelle
  • Revue/Périodique
    GRAINE Nouvelle-Aquitaine | Février 2021.
    Ce numéro de Plumes d'Orfée a pour ambition de questionner les métiers et les pratiques d’EEDD et plus généralement le rôle de l’éducation populaire dans un contexte social et sanitaire mouvementé. C’est aussi le thème qui avait été choisi pour les Rencontres régionales de l'éducation à l'environnement prévues à Limoges en 2020, elles aussi bousculées, puisque reportées puis concrétisées dans une formule à distance.... 2 conférences, et 6 Ateliers flash pour échanger autour d'outils pédagogiques, le tout en visio.
  • Document numérique
    Francine PELLAUD | 2021.
    Si le développement durable a réussi l’exploit de s’immiscer jusqu’au sein de l’économie et que son éducation a investi la plupart des programmes scolaires, force est de constater que, près de 30 ans plus tard, extinctions massives, pollutions, disparités sociales, catastrophes écologiques et surexploitations sont notre pain quotidien. Ce résultat, contre-productif et alarmant, n’est-il pas à attribuer à un concept qui a endormi les consciences plutôt que de les réveiller ? Dès lors quelles sont les questions fondamentales qui doivent guider notre réflexion en tant que penseurs de l’éducation ? Quelle est notre place face à une urgence qui ne peut plus se satisfaire de beaux discours ?
  • Document imprimé
    Luc SEMAL | 2019.
    Depuis les premières alertes des années 1970 jusqu’aux débats contemporains sur l’Anthropocène, Luc Semal retrace l’émergence et l’évolution des mobilisations aux prises avec les limites à la croissance et la perspective d’un effondrement global. Leur catastrophisme est envisagé non pas comme une fascination paralysante pour le désastre, mais comme une pensée politique propice à la délibération et à l’action. Des mouvements comme ceux de la décroissance et des Transition Towns réinventent des projets écologistes entre sobriété heureuse et désastres annoncés. Par leurs luttes et leurs expérimentations locales, ces mobilisations à l’ombre des catastrophes esquissent les contours d’une démocratie post-pétrole et post-croissance.
  • Document imprimé
    Christian CHEVALIER | 2019.
    L’éducation populaire n’a rien perdu de son héritage fondateur : celui d’une société inclusive qui garantit à chacune et chacun l’exercice d’une citoyenneté pleine et entière dans la République. L’enjeu de cet avis est de mettre en lumière sa modernité notamment au regard des débats sur la participation citoyenne aux décisions publiques. Il propose vingt préconisations concrètes pour restaurer et valoriser ses démarches, permettre aux multiples actrices et acteurs de sortir de l’invisibilité. Elles s’articulent autour de cinq grands axes : investir dans les politiques publiques d’éducation populaire pour contribuer à réconcilier la société ; développer le lien social pour conforter la citoyenneté ; sécuriser le modèle économique ; former les différents acteurs et reconnaître leurs compétences ; favoriser l’engagement et renouveler la gouvernance.
  • Document imprimé
    [No author mentioned] | 2019.
    Dans cette ouvrage, présentant 12 interventions autour de la psychologie positive, un chapitre est consacré aux "Effets d’un programme de psychologie positive sur les éco-gestes : le projet Cohérence-Soi-Environnement en Action (COSE-Action)" au cours duquel 60 personnes ont été sensibilisées à la psychologie positive dans 3 entreprises. Ce projet de recherche-action a été porté par la Maison de la Nature et de l'Environnement de I'Isère (MNEI) en partenariat avec le laboratoire de psychologie de l’Université Grenoble Alpes (UGA) et financé par l’ADEME.
  • Document imprimé
    Fabrice NICOLINO | 2018.
    Ce livre est un manifeste. Les pesticides sont des poisons qui détruisent tout ce qui est vivant. Ils sont dans l’eau de pluie, dans la rosée du matin, dans le nectar des fleurs et l’estomac des abeilles, dans le cordon ombilical des nouveau-nés, dans le nid des oiseaux, dans le lait des mères, dans les pommes et les cerises. Les pesticides sont une tragédie pour la santé. Ils provoquent des cancers, des maladies de Parkinson, des troubles moteurs ou cérébraux chez les enfants, des infertilités, des malformations à la naissance. L’exposition aux pesticides est sous-estimée par un système devenu fou, qui préfère la fuite en avant. Quand un pesticide est interdit, dix autres prennent sa place. Il y en a des milliers. Nous ne reconnaissons plus notre pays. La nature y est défigurée. Le tiers des oiseaux ont disparu en quinze ans ; la moitié des papillons en vingt ans ; les abeilles et les pollinisateurs meurent par milliards ; les grenouilles et les sauterelles semblent comme évanouies ; les fleurs sauvages deviennent rares. Rendez-nous nos coquelicots et nos bleuets ! Rendez-nous la beauté du monde ! Non, nous ne voulons plus. À aucun prix. Nous exigeons protection. Nous exigeons de nos gouvernants l’interdiction de tous les pesticides en France. Pas demain. Maintenant. Assez de discours, des actes.